SARKOZY EGAL A LUI-MÊME
Un article qui en dit long de toute façon sur ce que nous ressentons. Le mépris total de Sarkozy pour un certain peuple. Au lieu de réunir, il créé des différences. Au lieu d'unifier, il sépare. Il y a ceux qui nettoient et ceux qui doivent être nettoyés. Ceux qui cognent et ceux qui doivent être cognés. Ceux qui doivent être protégés et les laissés pour compte qui auront toujours tort de toute façon. C'est ça la France de Sarkozy. La criminalisation du citoyen ordinaire et la protection totale pour les délits des élites... mais aussi une sorte de "schizophrénie organisée..." pour nous faire oublier des problèmes bien plus graves.
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La guerre sociale est déclarée...
Alors plus que jamais, n'oubliez pas de voter pour Dominique de Villepin sur le site de Laurent de Boissieu... il est encore en tête mais comme les sarkozystes ne dorment pas, soyons vigilants... si vous ne voulez pas que la France sociale ressemble à l'Amérique et ses 40 MILLIONS d'oubliés sans compter ceux qui n'existent même plus sur l'état civil.
NICOLAS SARKOZY
par Laurent Mouloud
« Sarkozy ne communiquera plus sur sa vie privée » ; « Sarkozy va créer des équipes spécialisées dans les violences familiales » ; « Sarkozy fera voter avant la fin de l’année une mesure anti-hooligans » ; « Sarkozy veut moins de 4 000 tués sur les routes en 2007 », Sarkozy aux Tarterêts, Sarkozy l’écologiste, Sarkozy sur France 2...
En l’espace de quelques heures, le ministre de l’Intérieur s’est livré à une ahurissante occupation du terrain médiatique. Avec un but, à peine voilé : faire oublier son meilleur ennemi Jacques Chirac qui arpentait, jeudi, la banlieue lyonnaise sur le thème de l’emploi.
Bref, la suite d’une incessante course à l’échalote, qui n’a rien à voir - on vous rassure - avec le bien commun mais beaucoup avec l’orgueil et l’ambition personnelle.
Au passage, le président de l’UMP nous a gratifiés d’une mâle déclaration : après avoir voulu, en juin, passer « le Karcher » à La Courneuve, Sarkozy a demandé, cette fois, à ses troupes policières d’avoir « faim », comme d’autres exhortent le boxeur à rentrer dans la tronche de l’adversaire.
Un vocabulaire peu amène dans la bouche du maire de Neuilly. Mais qui, finalement, en dit long. Car sachez que Nicolas Sarkozy, l’oeil rivé sur 2007, s’imagine qu’il parle comme le « peuple » lorsqu’il scande des slogans simplistes dans une langue vulgaire. C’est donc dire en quelle haute estime l’ancien lieutenant de Balladur tient cette France d’en bas, méprisée jusque dans les mots.
Sources : L'HUMANITE
Posté par Adriana Evangelizt