LES TRUANDS DE CARLYLE RACHETENT COCHONOU, JUSTIN BRIDOU etc...
Quand on s'intéresse à ce qui se passe vraiment dans notre monde, on découvre des choses incroyables. Ainsi saviez-vous que les marques Cochonou, Justin Bridou et autres marques bien de chez nous, apparemment, appartiennent en réalité à une société américaine dénommée Sara Lee et dont nombre d'organisations pro-palestiniennes demandent le boycott parce que ses dirigeants israélites seraient sionistes. Ca c'est une chose. L'autre étant que Sara Lee se débarrasse de ses sociétés frrançaise par l'intermédaire du banquier Goldman Sachs (!) et que les racheteurs seraient entre autre Carlyle... lorsqu'on sait ce qu'est Carlyle, surnommée aussi LA PIEUVRE, ça nous sidère.
Il y a tout un tas d'entités qui se sont greffées sur notre territoire sans que le Peuple en soit averti mais qui n'augurent rien de bon. Nous sommes complètement infiltrés par des parasites qui nous courcircuiteront le moment venu, n'en doutons pas. Ils achètent nos sociétés pour mieux les ruiner ou mieux les revendre en mettant le personnel au chômage. On se demande comment nos dirigeants ne voient pas ce qui se prépare alors que nous, novices en politique mais il est vrai "visionnaire" voyons très bien où tout cela va nous mener. Car pour nous, il ne fait aucun doute que tout se suit. Sara Lee a acheté nos sociétés et comme par hasard c'est Carlyle qui va en hériter par un astucieux tour de passe-passe... si Dominique de Villepin veut protéger notre pays, il serait bien qu'il s'intéresse d'un peu plus près à ces étranges connexions de trusts sionisto-américaines qui ont lieu sur notre sol. Car Carlyle, hormis que Bush père y a des accointances, il y a aussi le grand ponte et gros truand Frank Carlucci, roi des magouilles et compagnie, qui en tire les ficelles. Et pour vous dire jusqu'où vont les choses, je viens de téléphoner à un de mes amis Franc-Maçon et politicien pour lui annoncer la nouvelle et il m'a répondu : "Je n'avais qu'une crainte... c'est que tu tombes là dessus ! Ton esprit de déduction ferait le reste." Voilà. Mon esprit de déduction effectivement en a déduit que... mais mon goût de l'anticipation me fait craindre le pire. Les bras m'en tombent, vous dis-je !!!
Lire ICI un article en anglais sur Sara Lee... on en apprend de belles !
Cochonou, Aoste... aiguisent les appétits
La division charcuterie du groupe Sara Lee intéresse les fonds d'investissement dans un climat maussade pour ce secteur. La banque Goldman Sachs a reçu cette semaine les offres de rachat.
APRÈS les collants et la lingerie fine, le jambon et le saucisson. Sara Lee poursuit ses cessions en Europe. La vente de Dim au fonds d'investissement Sun Capital accomplie (nos éditions du 26 septembre 2005), le conglomérat américain accélère la cession de sa branche européenne de charcuterie.
Mercredi, les candidats à la reprise d'Aoste, Justin Bridou, Cochonou et autres marques de Sara Lee ont remis leurs premières offres d'achat à la banque Goldman Sachs. Ce sont les financiers qui se sont laissé séduire. Selon nos informations, BC Partners, Carlyle et peut-être PAI Partners, entre autres, auraient chacun déposé une offre pour le numéro un européen du secteur, valorisé autour de 600 millions d'euros. Mais il n'est pas exclu que cette somme soit revue à la baisse à mesure que le processus avance. Les industriels n'ont, semble-t-il, pas même tenté de concourir.
La charcuterie n'a pas le vent en poupe
«C'est trop cher pour moi, et la salaison n'est pas une activité assez rentable», confie Monique Piffaut, PDG de William Saurin et Paul Prédault. Cette femme d'affaires secrète est pourtant réputée pour racheter tout ce qui se présente. Même son de cloche chez Fleury Michon, où l'on mise depuis plusieurs années déjà sur les catégories qui ont le vent en poupe (surimi, jambons de volaille, plats préparés).
En fait, la salaison est bien un métier rentable. De l'aveu des spécialistes, Sara Lee a d'ailleurs réussi à amener ses filiales à un niveau acceptable de rentabilité, mais les stocks immobilisés (jambons et saucissons en sécheries) sont importants et obligent à avoir une trésorerie solide.
Il est vrai toutefois que l'ensemble de la charcuterie n'a pas le vent en poupe. «Le marché est très difficile, juge Isabelle Senand, directeur d'études au cabinet Xerfi, nous avons étudié les comptes de dizaines de PME de ce secteur et nous avons constaté que leur résultat d'exploitation a chuté de 10 points en l'espace de deux ans.» La croissance en volume du marché est de l'ordre d'à peine 1% par an. En valeur, il baisse d'un peu plus de 0,5% chaque année.
Sources : FIGARO ENTREPRISES
La vente de Cochonou et Justin Bridou s'accélère
Après la cession de Dim au fonds d'investissement Sun Capital, le groupe américain Sara Lee poursuit à marche forcée la vente de ses activités jugées non stratégiques. Une nouvelle étape vient ainsi d'être franchie dans le processus concernant la division européenne de charcuterie du groupe américain qui compte les marques Aoste, Cochonou et Justin Bridou. Plusieurs candidats au rachat de ces sociétés ont remis leurs offres mercredi dernier à la banque Goldman Sachs. Parmi eux, les fonds d'investissement BC Partners, Carlyle et PAI Partners qui pourraient proposer jusqu'à 600 millions d'euros.
Cette vente intervient à un moment où le marché de la charcuterie subit de plein fouet la montée en puissance des marques de distributeurs et des produits à bas prix vendus dans les enseignes de hard discount. Autre point noir, la réforme de la loi Galland sur les prix dans la grande distribution devrait abaisser encore un peu plus les marges des industriels alors que les consommateurs, soucieux de garder la ligne, privilégient les produits à base de poisson tels que le surimi.
Sources : FIGARO ENTREPRISES
Posté par Adriana Evangelizt