LIBERATION A FAIT LE MAUVAIS CHOIX
Encore un exemple de plus qui montre bien le genre de personnage qui achète des sociétés chez nous pour mieux nous saigner à blanc. Nous n'avons jamais très bien compris pourquoi Libération s'est mis sous la coupe de Rotschild quand on connait les desseins de l'homme, sioniste et pro-israélien convaincu. Les gens qui nous gouvernent semblent ignorer le danger que font peser ces personnages sur notre territoire. Le muselage de la presse en ce qui concerne le Moyen-Orient étant leur premier but.
Les salariés de Libération lancent une pétition adressée à Edouard de Rothschild
Des salariés du quotidien Libération ont lancé une pétition, s'adressant à l'actionnaire majoritaire du journal, Edouard de Rothschild, affirmant qu'il ne saurait être question d'avancer dans des projets et en même temps de mettre leur "tête sur le billot".Alors qu'une menace de plan social pèse sur l'entreprise, Serge July ayant annoncé en septembre "une optimisation de l'organisation", les signataires estiment que M. de Rothschild, qui s'est "présenté comme un actionnaire favorable au développement de nouveaux projets", connaît "mal" le métier de presse et "ce qu'est l'accompagnement au long cours d'un projet de presse".
"Vous voulez au contraire tailler d'abord dans l'outil - drastiquement - avant de parler développement", écrivent les auteurs d'un texte intitulé "100% de projets, 0 licenciement!". "Autrement dit, vous voulez commencer par flinguer une équipe, avant de lui dire de s'adapter et de se développer. C'est absurde et impossible", écrivent les signataires.
"Il ne saurait pour nous être question d'avancer dans des projets et - dans le même temps - de mettre notre tête sur le billot. On ne fait pas avancer une équipe traumatisée. Vous prenez les choses à l'envers", affirment-ils.
Les auteurs affirment que si M. de Rothschild maintient son ambition, "les coupes d'abord, les projets ensuite", "ce sera 0 projet, parce que vous aurez déclenché un conflit rendant impossible la mobilisation des énergies", "parce que la bataille empruntera tous les chemins utilisables, de la grève aux tribunaux".
Parmi les premiers signataires figurent Florence Aubenas, Christophe Boltanski, Eric Favereau, Elisabeth Lebovici, Gérard Lefort, Paul Quinio, Vanessa Schneider, Dominique Simonnot, Armelle Thoraval, Brigitte Vital-Durand.
Par ailleurs, la motion, à l'initiative de l'intersyndicale CGT, Sud, SNJ, visant à s'opposer à tout licenciement et exigeant la relance des projets, a été signée par 206 salariés et remise jeudi à la direction.
Sources : YAHOO
Posté par Adriana Evangelizt