La France va renégocier tous ses accords militaires en Afrique, annonce Nicolas Sarkozy
Ne pas se réjouir de cette décision, y compris les Africains d'ailleurs car c'est de mauvaise augure. N'oublions pas que Sarkozy possède l'esprit sioniste. C'est à dire que lorsqu'il vous tend la main, c'est pour mieux vous arracher le bras et s'il fait semblant de vous donner quelque chose, c'est qu'il a bien l'intention d'en prendre le centuple. Donc, s'il veut retirer nos troupes d'Afrique, c'est qu'il a l'intention de les mettre ailleurs. Un peu comme Sharon qui avait retiré les colons de Gaza pour les mettre en Cisjordanie. Et où iront nos braves gars ? Ben suivez des yeux pour qui il bosse vraiment et la réponse est évidente. Sans doute en Afghanistan, en Irak et pourquoi pas en Iran quand les belliqueux vont enclencher le combat qui ne saurait tarder. Attendons nous à voir nos hommes servir de chair à canon partout où l'axe sionisto-néocons livre et livrera bataille. Et que les Africains s'étripent entre eux, il n'en a rien à cirer. Voilà la feuille de route sarkozyenne dans le désengagement de nos troupes occupantes... il a de bon souffleurs, n'oublions pas !
La France va renégocier tous ses accords militaires en Afrique,
annonce Nicolas Sarkozy
L'annonce officielle ne devrait intervenir que dans l'après-midi de jeudi 28 février, mais Nicolas Sarkozy a d'ores et déjà fait part de son intention de renégocier les accords militaires qui lient la France à différents pays d'Afrique. "J'annoncerai la renégociation de tous les accords militaires de la France en Afrique", et tous ces accords seront publiés "dans la transparence", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse conjointe avec son homologue sud-africain Thabo Mbeki, au Cap.
"La France doit être présente de façon différente en Afrique", a-t-il plaidé, précisant que "tous les chefs d'Etat [concernés] sont informés". Thabo Mbeki s'est félicité de cette annonce. "Cela fait partie de la suite du processus de décolonisation en Afrique", a-t-il dit. L'annonce devrait intervenir au Parlement sud-africain, devant lequel le président français doit s'exprimer jeudi après-midi.
"LA FRANCE N'A PAS À JOUER UN RÔLE DE GENDARME EN AFRIQUE"
Jeudi matin, Nicolas Sarkozy avait déjà indiqué au quotidien sud-africain The Star qu'il comptait "revoir la présence militaire française en Afrique". "Je pense que les temps ont changé et que la France n'a pas à jouer un rôle de gendarme en Afrique, c'est le rôle de l'Union africaine et des organisations régionales africaines", avait-il dit. "C'est dans ce but que j'ai décidé de revoir le cadre de cette présence militaire et ses objectifs", avait-il ajouté.
"Il est certain que certaines bases vont disparaître", a expliqué une source diplomatique interrogée à Paris, citant l'exemple de celle d'Abidjan, où 900 hommes du 43e bataillon d'infanterie de marine sont stationnés en permanence, indépendamment des effectifs de la force Licorne. Quelque 9 000 soldats français sont actuellement déployés au Sénégal, en Côte d'Ivoire, au Gabon, au Tchad, en Centrafrique et à Djibouti.
Sources Le Monde
Posté par Adriana Evangelizt
L'annonce officielle ne devrait intervenir que dans l'après-midi de jeudi 28 février, mais Nicolas Sarkozy a d'ores et déjà fait part de son intention de renégocier les accords militaires qui lient la France à différents pays d'Afrique. "J'annoncerai la renégociation de tous les accords militaires de la France en Afrique", et tous ces accords seront publiés "dans la transparence", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse conjointe avec son homologue sud-africain Thabo Mbeki, au Cap.
"La France doit être présente de façon différente en Afrique", a-t-il plaidé, précisant que "tous les chefs d'Etat [concernés] sont informés". Thabo Mbeki s'est félicité de cette annonce. "Cela fait partie de la suite du processus de décolonisation en Afrique", a-t-il dit. L'annonce devrait intervenir au Parlement sud-africain, devant lequel le président français doit s'exprimer jeudi après-midi.
"LA FRANCE N'A PAS À JOUER UN RÔLE DE GENDARME EN AFRIQUE"
Jeudi matin, Nicolas Sarkozy avait déjà indiqué au quotidien sud-africain The Star qu'il comptait "revoir la présence militaire française en Afrique". "Je pense que les temps ont changé et que la France n'a pas à jouer un rôle de gendarme en Afrique, c'est le rôle de l'Union africaine et des organisations régionales africaines", avait-il dit. "C'est dans ce but que j'ai décidé de revoir le cadre de cette présence militaire et ses objectifs", avait-il ajouté.
"Il est certain que certaines bases vont disparaître", a expliqué une source diplomatique interrogée à Paris, citant l'exemple de celle d'Abidjan, où 900 hommes du 43e bataillon d'infanterie de marine sont stationnés en permanence, indépendamment des effectifs de la force Licorne. Quelque 9 000 soldats français sont actuellement déployés au Sénégal, en Côte d'Ivoire, au Gabon, au Tchad, en Centrafrique et à Djibouti.
Sources Le Monde
Posté par Adriana Evangelizt