"Mon corps te réclame" écrivait une prof à Sarkozy
A mourir de rire ! "Mon corps te réclame..." écrivait une prof à Sarkozy en lui envoyant des gadgets érotiques et des lettres torrides. Tous les goûts sont dans la nature. Nous, on préfère Kevin Kostner...
La correspondance détonante d'une prof à Sarkozy
«Mon corps te réclame» écrivait une enseignante au président de la République avant de se faire plus menaçante.
Déclarer sa flamme au chef de l'Etat n'est pas sans risque. Une enseignante de Grande-Synthe a été convoquée, mercredi, au commissariat de Dunkerque pour avoir envoyé depuis le début de l'année une cascade de lettres et de colis torrides à Nicolas Sarkozy. «Mon corps te réclame» confiait ainsi dans une de ses missives cette femme d'une quarantaine d'années avant d'embrayer sur des propositions de plus en plus explicites. Consumée par le désir, la professeure fait même parvenir à l'Elysée quelques paquets coquins contenant petites culottes et objets évocateurs genre « sex toys »
Mais ces lettres transies ont vite pris un caractère inquiétant, révèle Nord-Eclair, lorsque pour attirer l'attention du président de la République qui restait muet à ses avances, les missives se couvrent des mentions menaçantes «extrêmement explosif», «nitroglycérine» ou «anthrax». Avec ces mots-clés, l'amoureuse exaltée espérait flatter la fibre sécuritaire de Nicolas Sarkozy, après son long passage place Beauvau en tant que ministre de l'Intérieur.
Un examen de personnalité demandé
Las... ces courriers audacieux ont surtout fait bondir les services de l'Elysée qui ont alerté la police locale. Retrouvée et interrogée par les enquêteurs, l'amoureuse exaltée a reconnu, en larmes, être l'auteur de cette correspondance «détonante». Ne représentant aucune menace réelle, la passionnée a été relâchée. Toutefois par mesure de précaution, le procureur de la République de Dunkerque, qui n'exclut pas une mauvaise plaisanterie, a ordonné un examen de personnalité approfondi de l'enseignante.
Reste à savoir si cette femme a profité de son retour chez elle pour poursuivre sa correspondance, ou si le président de la République a été touché par une telle dévotion.
SourcesLe Figaro
Posté par Adriana Evangelizt