DDV vers le rebond ?
Dominique de Villepin : vers le rebond ?
Invité de France 2, le Premier Ministre lance un vrai plan de communication témoignant de sa volonté de reprendre l'offensive.
Mis sérieusement en difficulté par la crise du CPE puis dans la foulée celle de Clearstream, Dominique de Villepin semble repartir à l'offensive.
Les faiblesses de la gauche créent des "fenêtres de tir" assez surprenantes. A droite, Nicolas Sarkozy incarne un profil présidentiel qui est celui d'une énergie libérale matinée de volontarisme sécuritaire. Sur ces volets, il est assez proche du pouvoir d'évocation de J. Chirac en 1988. C'est un bon positionnement de 1er tour mais pour le second ?
Pour s'émanciper de la relation présidentielle, Dominique de Villepin a besoin d'un statut de présidentiable. Il l'a perdu au printemps 2006. Mais pas définitivement peut-être ?
A ce jour, le "villepinisme" n'existe pas. Ses troupes parlementaires sont faibles. L'opinion publique n'est pas au rendez-vous. Ce positionnement est très inhabituel pour un Premier Ministre à un an de la présidentielle qui n'est ni présidentiable ni leader naturel de la majorité parlementaire.
Il ne lui reste que l'action pour partir à la reconquête de l'opinion. Si cette dernière lui accorde son soutien, beaucoup redeviendrait possible.
Les faiblesses de la gauche créent des "fenêtres de tir" assez surprenantes. A droite, Nicolas Sarkozy incarne un profil présidentiel qui est celui d'une énergie libérale matinée de volontarisme sécuritaire. Sur ces volets, il est assez proche du pouvoir d'évocation de J. Chirac en 1988. C'est un bon positionnement de 1er tour mais pour le second ?
Pour s'émanciper de la relation présidentielle, Dominique de Villepin a besoin d'un statut de présidentiable. Il l'a perdu au printemps 2006. Mais pas définitivement peut-être ?
A ce jour, le "villepinisme" n'existe pas. Ses troupes parlementaires sont faibles. L'opinion publique n'est pas au rendez-vous. Ce positionnement est très inhabituel pour un Premier Ministre à un an de la présidentielle qui n'est ni présidentiable ni leader naturel de la majorité parlementaire.
Il ne lui reste que l'action pour partir à la reconquête de l'opinion. Si cette dernière lui accorde son soutien, beaucoup redeviendrait possible.
Sources : Exprimeo
Posté par Adriana Evangelizt