FRANCAIS EN AVANT MARCHE !
Comme nous l'avons déjà dit nous sommes de gauche mais quand on voit qui nous représente, au pire on éprouve du mépris et au mieux du dégoût. Entre un Fabius qui traine la casserole du sang contaminé, un Hollande qui s'est fait le chantre du OUI sans tenir compte de l'avis du Peuple... dans le même sillage un Jack Lang bradeur de la France au YES... un Jospin qui s'est débiné lors des dernières présidentielles et qui suit les deux autres, que nous reste-t-il ? Rien ! Alors que va faire le peuple ? Ces sinistres individus ont la sale manie de nous prendre pour des imbéciles. Tout le monde n'a pas l'esprit primaire messieurs ! Ne croyez pas que vous avez affaire à des boeufs. En attendant, il fallait voir leur mine le jour où Dominique de Villepin a fait sa proposition. Fabius se permettait de sourire narquoisement et Hollande tirait une tête d'enterrement comme tous ses affidés assis à ses côtés. Voilà les "socialistes à la triste figure"... admirez le tableau !
Il nous semble que lorsque l'on est sensé représenter un parti "au nom du peuple"... on a le droit d'en attendre autre chose que des façades en porte de prison. Et Fabius rit ! Il ose rire... N'empêche et n'en déplaise à ses incapables, Dominique de Villepin s'est penché lui sur les besoins du Peuple. C'est un pas... petit penseront certains mais la critique est facile ! Nous attendons donc de voir le Forgeron Dominique à l'oeuvre... et nous souhaitons fortement qu'il se présente aux présidentielles. Au moins représenterait-il avantageusement la France. Il a un physique, il est intelligent, il a du style ! Il ne lui reste plus qu'à aller arpenter les rues des bas-fonds français pour comprendre d'où vient le mal... en sera-t-il capable ? Nous pensons que oui...
"FRANCAIS, EN AVANT, MARCHE..."
par Alain Hertoghe
Dominique Galouzeau de Villepin mérite quelques applaudissements. Il ne rendra sans doute pas la confiance aux Français en cent jours. Mais il insufflera peut-être un peu d'espoir dans le "vieux pays" évoqué lors de sa fameuse intervention à la tribune de l'ONU en 2003. Le premier ministre a prononcé, mercredi devant l'Assemblée nationale, le meilleur discours possible dans les circonstances actuelles. Et Dieu sait que le terrain était miné. D'abord, il a su faire sobre et concret. A deux ou trois phrases près, Galouzeau de Villepin nous a épargné les envolées flamboyantes dont il a le secret. Ce qui prouve qu'il sait prendre sur lui. Par ailleurs, et l'air de rien, le chouchou de Jacques Chirac a balancé quelques vérités aux Français. Notamment qu'il était plus que temps de regarder la réalité en face et de s'y adapter. Enfin, pour un homme qui s'écoute parler, il a démontré qu'il avait entendu le message angoissé du 29 mai. Les partisans d'un électrochoc auront été déçus, mais le premier ministre a eu raison de prendre le corps social avec des pincettes. Tant qu'à faire, il préfère visiblement éviter de mettre tout le monde tout de suite dans la rue. Il n'a donc pas annoncé une révolution de la politique de l'emploi à la française, mais il a néanmoins injecté quelques mesurettes libérales dans son plan de traitement très social du chômage. Si cela passe et si cela marche, il pourra toujours aller plus loin. Attendons d'abord que Galouzeau de Villepin traduise ses premières paroles en actes. Car nous sommes déjà à J-99 du retour promis de la confiance…
Sources : http://fr.news.yahoo.com/050609/295/4gdtl.html
Posté par Adriana Evangelizt