NICK LE TERRIBLE

Publié le par Adriana EVANGELIZT

Nous nous trouvons dans une incroyable situation... alors que ce blog est consacré à Mister Dominique de Villepin, nous ne pouvons nous empêcher d'y accoler des articles sur Nick le Terrible... mais nous pensons sérieusement que les deux vont de pair dans des directions complètement différentes.

Ce blog comme vous l'aurez compris n'est pas le blog d'une politique mais d'une Française de coeur et d'âme qui a décidé de mettre ses petits talents de "visionnaire" au service de ces hommes qui font la pluie et le beau temps dans notre Nation. Je poserai parfois donc mes visions et ressentis au gré de mes humeurs et des évènements politiques...

En observant un des dernières photos du ministre de l'Intérieur, nous ne pouvons nous empêcher de constater un changement physique radical. Observez la différence... première photo... où l'on pourrait mettre "avant"...

 

 

Deuxième photo... maintenant...

 

Observer les personnes est une de nos marottes. Vous ne pouvez pas imaginer tout ce que l'on peut découvrir derrière un visage lorsque l'on excelle en physiognomie... et tout ce que l'on peut y découvrir de "caché"...

Nous ne pensons pas que Nicolas Sarkozy soit en train de faire un régime amaigrissant pour aller bronzer sur les plages arcachonnaises... mais le visage poupin est devenu émacié... il met son corps à rude épreuve dans l'exercice de sa fonction, certes... un véritable marathon pour la conquête du Pouvoir et tailler la France à sa mesure à lui. Mais l'envers du décor doit aussi beaucoup fouailler son âme... il n'est qu'un humain après tout, qu'il se le dise. Et il doit certainement avoir un coeur comme tout le monde même s'il en fait fi pour privilégier sa carrière...

Nous pensons qu'il arrive à un moment crucial de son parcours mais paradoxalement, son impétuosité et son insolence vont crescendo.

A cette triste constatation, nous nous posons quelques questions : Qui a mis le pied à l'étrier à Nicolas Sarkozy ? Qui fut plus ou moins son mentor ? Est-ce une façon de remercier celui à qui non seulement il doit tout mais qui est aussi le Président de la République Française ? Quel plaisir peut-il prendre à le désavouer publiquement ou à le ridiculiser ? Est-ce bien ?

D'autre part, nous tenons à signaler que lorsqu'il dit "La France gronde, j'essaie de l'entendre...", nous lui demandons : De quelle France parle-t-il ? Pas de la nôtre en tout cas. Il ne faut pas quand même qu'il croit, comme de Gaulle, que tous les français sont des veaux. S'il continue sur cette lancée, il est fort à craindre que les résultats qu'il récoltera ne seront pas ceux qu'il a escomptés. Evoluant dans un certain milieu intellectuel, artistique... un milieu qui ne se situe ni en bas, ni en haut... ses façons de faire ne plaisent pas. Nous le trouvons même carrément odieux. Les vrais français justement sont très sensibles au Respect. Au sens des valeurs... au sens de l'Honneur... il semble galvauder tout cela et y prendre plaisir. A tel point que nous nous demandons s'il est Français ?

Il y a un proverbe bien français qui dit : "Tant va l'eau à la cruche qu'elle se casse..." Il est en train de tirer sur la corde... un peu trop... tempérance, lucidité et sagesse,  à ce moment précis, sont fortement conseillées, ne serait-ce que pour sa santé qu'il met à rude épreuve, nous le répétons...

NICOLAS SARKOZY DEFIE JACQUES CHIRAC, QUI FAIT LA SOURDE OREILLE

Quand Jacques Chirac cherche à éviter l'affrontement, Nicolas Sarkozy, lui, attaque. Le ministre de l'Intérieur a organisé "sa" garden party parallèle pour la fête nationale, au cours de laquelle il a dressé un "parallèle historique" osé entre le chef de l'Etat et Louis XVI. Des propos accueillis par un silence froid à l'Elysée, alors que l'opposition dénonce une "bouffonnerie"

Depuis la victoire du "non" au référendum du 29 mai, le ministre de l'Intérieur ne laisse quasiment plus passer une journée sans défier un Jacques Chirac affaibli, sans parvenir pour autant à le faire sortir de son mutisme.

"On ne peut pas voir la France accumuler tant d'échecs, y compris aux Jeux olympiques, sans se demander si ce n'est pas nous qui avons tort et le monde qui a raison", avait-il lancé dimanche dernier, avant de se demander mercredi "pourquoi on perpétue cette tradition" de l'interview présidentielle du 14 juillet, "alors qu'il n'y a pas d'actualité et que les Français ont déjà la tête en vacances".

Jeudi, après un passage éclair à l'Elysée, il conviait quelques journalistes à "sa" garden party place Beauvau, à quelques mètres du palais présidentiel. Le jour de la fête nationale, le ministre de l'Intérieur organise traditionnellement une réception pour les personnels du ministère, mais celle-ci n'était jusque-là pas ouverte à la presse.

Non content d'expliquer qu'il ne comptait pas suivre l'intervention radio-télévisée de Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy s'en est pris en termes durs au chef de l'Etat: "à force d'user de la langue de bois, à force d'éluder la réalité des faits, à force d'esquiver les défis (...) la France gronde. J'essaie de l'entendre". Et d'oser un "parallèle historique": "je n'ai pas vocation à démonter tranquillement les serrures à Versailles pendant que la France gronde". Jacques Chirac, ainsi comparé à Louis XVI, a dû apprécier.

Côté chiraquien, on a visiblement opté pour la stratégie du silence. Déjà, Jacques Chirac s'était gardé jeudi d'attaquer son ministre de l'Intérieur, tout en refusant d'exclure une éventuelle candidature pour la présidentielle de 2007.

Interrogé vendredi sur ses difficultés lors d'une conférence de presse à l'Elysée avec le président brésilien Luiz Ignacio "Lula" da Silva, Jacques Chirac, visiblement agacé, a répondu: "je n'ai jamais eu l'habitude de commenter des problèmes de politique intérieure lors d'une réunion internationale".

Les propos de M. Sarkozy n'ont "pas du tout été évoqués" lors du Conseil des ministres vendredi, selon le porte-parole du gouvernement Jean-François Copé. "De manière générale, il est vrai que les Français n'aiment pas beaucoup la langue de bois", a-t-il simplement constaté.

Assailli par les journalistes, Nicolas Sarkozy a quitté le Conseil des ministres sans faire de commentaires.

Ses proches ont en revanche relayé son message vendredi. "La langue de bois, on en crève depuis bien des années", a lâché sur France-inter Manuel Aeschlimann, conseiller de Nicolas Sarkozy. "Résultat, la droite se fait exploser aux régionales en 2004, le 'oui' est en bouillie au référendum".

"Effectivement, si on veut continuer de se faire tôler à chaque élection, il n'y a pas de souci, continuons comme ça", a-t-il ajouté. "Ce que dit simplement Nicolas Sarkozy, c'est qu'il faut rompre avec cet état d'auto-satisfaction permanent". D'ailleurs, "s'il avait eu la chance d'être Premier ministre et de pouvoir lui-même diriger la politique de la France, on aurait sans doute des résultats différents".

"Je suis fatigué de ces histoires", a lâché un autre sarkozyste, le ministre délégué aux collectivités territoriales Brice Hortefeux. La réception organisée place Beauvau était "prévue". D'ailleurs, "elle a été organisée par M. de Villepin l'année dernière".

La gauche a dénoncé quant à elle un climat de "bouffonnerie". Pour le député socialiste Henri Emmanuelli, "M. Chirac n'a plus le contrôle de son gouvernement", alors que le Premier secrétaire du PS François Hollande a estimé que le mandat de Jacques Chirac "se termin(ait) dans une bouffonnerie". De son côté, Laurent Fabius a mis en garde contre "l'application systématique" d'une "stratégie de la fausse différence". Car Nicolas Sarkozy, c'est juste "Chirac en plus jeune", a-t-il averti. AP

Sources : http://fr.news.yahoo.com/050715/5/4i58s.html

Publié dans Nicolas Sarkozy

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