Agriculture : Nicolas Sarkozy sur les traces de Jacques Chirac
Agriculture : Nicolas Sarkozy sur les traces de Jacques Chirac
Nicolas Sarkozy a affirmé hier que la France opposera son veto lors des négociations commerciales de l'OMC si les intérêts agricoles français sont menacés.
Prenant le relais de son prédécesseur, Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy a assuré hier, lors d'une rencontre avec des agriculteurs, qu'il n'entendait pas brader l'agriculture française sur l'autel de la libéralisation du commerce international.
"La France mettra son veto" lors des négociations commerciales de l'Organisation mondiale du commerce si les intérêts agricoles français étaient menacés a averti le président de la République. "S'il y a des efforts à faire que tout le monde le fasse" a déclaré Nicolas Sarkozy qui a poursuivi "Pour l'instant je ne vois pas les efforts que sont disposés à faire les Etats-Unis" citant également l'Inde et le Brésil. "Je ne suis pas disposé à échanger l'agriculture contre les services dans le cadre des négociations de l'OMC" a aussi déclaré le chef de l'Etat français.
Un message relayé du côté de Bruxelles par le commissaire européen au Commerce Peter Mandelson, négociateur pour le compte de l'Union européenne, qui a, en écho, déclaré "Si les autres ne peuvent pas faire un effort proportionné à l'offre européenne, je n'aurai pas d'autre alternative que de revoir ce que l'Europe a mis sur la table".
"La France mettra son veto" lors des négociations commerciales de l'Organisation mondiale du commerce si les intérêts agricoles français étaient menacés a averti le président de la République. "S'il y a des efforts à faire que tout le monde le fasse" a déclaré Nicolas Sarkozy qui a poursuivi "Pour l'instant je ne vois pas les efforts que sont disposés à faire les Etats-Unis" citant également l'Inde et le Brésil. "Je ne suis pas disposé à échanger l'agriculture contre les services dans le cadre des négociations de l'OMC" a aussi déclaré le chef de l'Etat français.
Un message relayé du côté de Bruxelles par le commissaire européen au Commerce Peter Mandelson, négociateur pour le compte de l'Union européenne, qui a, en écho, déclaré "Si les autres ne peuvent pas faire un effort proportionné à l'offre européenne, je n'aurai pas d'autre alternative que de revoir ce que l'Europe a mis sur la table".
Sources Fenêtre sur l'Europe
Posté par Adriana Evangelizt