Témoignage d'un supporter

Publié le par Adriana EVANGELIZT

Voilà déjà un témoignage qui remet fortement en question toute l'histoire et qui confirme ce que nous disions précédemment... à savoir que les extrêmistes sionistes étaient bien présents dans les tribunes. Et les connaissant, ils ne ressemblaient en rien à des enfants de choeur. Le policier n'avait pas de brassard, personne ne savait donc qu'il faisait partie de la grande maison, il n'a jamais crié 'Police', il a trébuché, est tombé en arrière et a tiré lorsque les supporters se sont avancés... mmais ils n'étaient pas 150 comme ON le dit mais à peine une vingtaine. Et enfin s'ils avaient perdus contre une autre équipe, les supporters du PSG se seraient conduits de la même façon, ils n'ont donc pas agi par racisme...  

 

 

"On aurait perdu contre Sedan ça aurait été pareil"

 

 

 

Sacha, 20 ans
Etudiant en licence d’économie, à Paris
A la tribune Auteuil depuis 5 ans



"A chaque but de Tel Aviv,
les supporters israéliens nous provoquaient en lançant des fumigènes. Dans une des tribunes, il y avait aussi des mecs du Betar avec leur drapeau. A chaque fois que l’on joue contre un club israélien, ils viennent pour se frotter aux barjots de chez nous. Jeudi soir, ils étaient une trentaine de mecs, cagoulés avec des foulards.

A la fin du match, nous étions énervés. C’est la troisième défaite consécutive du club. Alors
la tension est montée contre les supporters israéliens. En plus ils montraient leur joie de façon ostensible. Ça énerve. Mais c’est faux de dire que c’est de l’antisémitisme. On aurait perdu contre Sedan, ou contre des Anglais, ça aurait été pareil.

Y’a eu plusieurs embrouilles, les flics ont commencé à charger et à nous repousser vers la porte de Saint-Cloud, où il y avait déjà les gens de la tribune Boulogne. Il y a eu des petits incidents, ici et là. Mais 150 personnes qui se sont précipitées sur une autre, c’est pas vrai. J’ai tout vu. Au plus, il y avait une vingtaine de mecs sur six supporters israéliens. L’un d’eux est parti demander de l’aide au flic.

A ce moment-là,
on ne savait pas que c’était un flic en civil. Il n’avait pas de brassard et d’habitude les flics, ils vont toujours pas deux. Il avait la main dans son manteau, on se demandait ce qu’il tenait. Puis il a sorti son flingue, il a trébuché en arrière, les supporters du PSG ont avancé, il a tiré ! Je suis parti.

Mais y’a un truc bizarre. Tout le monde dit que le flic a paniqué, qu’il était menacé et qu’il a tiré. Mais j’ai bien vu,
il n’avait pas l’air de paniquer au contraire, il a agi très posément."

Sources 20 MN

Posté par Adriana Evangelizt

Publié dans BAVURES POLICIERES

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article