VILLEPIN, L'HERITIER METHODIQUE OU...

Publié le par Adriana EVANGELIZT

Les choses sont en train de se mettre en place peu à peu pour Dominique de Villepin... les anges veillent sur lui, quelque part... pensait-il le petit garçon Dominique dans les années 60 qu'un jour il serait si haut ? A quoi tient le destin d'un homme ? Nous nous sommes déjà penchée astrologiquement parlant sur le Cas de l'intéressé. Il est Scorpion asc. Poissons. Cette double combinaison n'est pas facile à porter d'autant qu'à partir de 40 ans, on prend le signe Ascendant. Dominique de Villepin est donc atuellement plus Poissons que Scorpion. L'astrologie astro-karmique que nous pratiquons permet de voir sur la carte du ciel du natif les grandes lignes de son destin. La carte du ciel de Dominique de Villepin est riche d'enseignement. L'imaginaire, le rêve, l'évasion sont très importants pour lui. On comprend mieux pourquoi il est poète et combien l'écriture doit être un puissant exorcisme pour tout ce qui gravite dans son inconscient... c'est aussi un stimulant. Qu'il puisse allier le rêve à la réalité est déjà une grande gageure mais qu'il puisse canaliser toutes les émotions propres aux Scorpion-Poissons est un pari difficile à tenir qu'il semble tenir pourtant. Car Dominique est quelqu'un de sensible. Très. Cela se voir d'ailleurs sur son visage. Il possède une grande sensibilité et une grande sensitivité. Ce qui lui permet de posséder un grand instinct et de "pressentir" les gens et les évènements. Les signes d'Eau font souvent de l'empathie avec leur environnement. Ils s'en imprègnennt au point de pouvoir deviner l'autre. Ils sont très réceptifs. Or, cependant il semble parfaitement maîtriser sensibilité et émotion notamment en public et cela ne doit pas tous les jours être facile. Il prend donc beaucoup sur lui mais il possède une grande force intérieure qui lui permet de canaliser tout un tas de choses. Nul doute qu'il ira loin... jusqu'à la présidence, nous le pensons sincèrement. Sa carte du Ciel est paticulièrement éblouissante même si de nombreux ennemis ou adversaires cherchent à lui entraver la route, il trouvera la réserve nécessaire pour faire face à l'adversité... il est donc bien "protégé". Et "investi" d'une "Mission" précise... et particulière que nous ne pouvons divulguer qu'à l'intéressé seul... sourire...

VILLEPIN : L'HERITIER METHODIQUE OU LA METHODE DE L'HERITIER

 

par Patrice BIANCONE

Après tout, on a bien le droit de rêver sa vie. Nicolas Sarkozy se voit depuis longtemps en président de la République : pourquoi Dominique Galouzeau de Villepin ne se verrait-il pas, comme celui qu'il admire tant, Napoléon, en dernier rempart de quelque chose que l'on pourrait appeler, dans son cas, le chiraquisme ? Ne s'est-il pas lui-même présenté comme l'héritier naturel du président ? N'a t-il pas dit, qu'après toutes ses années passées à ses côtés, il avait beaucoup appris ? Et ne sommes nous pas en droit d'ajouter que s'il a beaucoup appris, c'est avant tout sur la méthode, puisque Jacques Chirac et la politique c'est d'abord une méthode ?

Voilà donc, comme l'écrit l'historien Jean Tulard à propos de Napoléon, «l'officier rêveur et distrait au service d'un pouvoir, qui trouve, à la faveur d'une crise, son destin». Pour les amateurs d'authenticité, on dira que la similitude est réelle: chez Dominique de Villepin, tout comme chez Napoléon la préparation de l'avenir tient finalement à une rencontre. Pour Bonaparte, celle de Sièyes, en 1799, qui fera de lui un consul provisoire. Et pour Dominique de Villepin, celle de Jacques Chirac qui en fera un Premier ministre de la France en 2005, alors que le pays traverse une double crise économique et sociale.

Le reste est une histoire d'habileté. Pour Bonaparte on sait ce qu'il advint. Pour Dominique de Villepin, la page est blanche et ne demande qu'à être noircie. Disons qu'aujourd’hui, il doit s'atteler au plus difficile. Faire adhérer à sa cause l'armée des Français, comme Bonaparte a su, en son temps, faire adhérer les généraux pour se placer en position d'arbitre. Finalement Dominique de Villepin, c'est l'alternative dans la continuité. Ce n'est pas la gauche qui se cherche depuis 2002 sans se trouver. Ce n'est pas non plus Nicolas Sarkozy qui s'épuise, et épuise les autres, à dire que lui seul représente la rupture, et dont notre confrère, le Canard Enchaîné, écrit fort justement ce matin: «que c'est Chirac qui a un problème vasculaire, mais que c'est Sarko qui fait un coup de sang...».

La politique est d'ailleurs si cruelle que Nicolas Sarkozy a dû rester stoïque en apprenant que Dominique de Villepin dirigerait le conseil des ministres en l'absence de Jacques Chirac toujours à l'hôpital, mais qui fait savoir, par divers moyens, qu'il n'y a pas vacance du pouvoir. Il téléphone, Jacques Chirac. Il reçoit. Et il observe son protégé déployer ses ailes de géant en l'aidant, volontairement ou involontairement, par son absence provisoire justement. Peut-on, en effet, imaginer situation plus idéale pour quelqu'un qui veut se lancer dans la course présidentielle ? Sans doute pas. Et c'est bien ce que se disent les supporters de Nicolas Sarkozy qui ajoutent que ce conseil des ministres aurait pu être ajourné tant son ordre du jour est peu important. Ordonnances de simplification du droit, communication sur la situation internationale et communication du ministre Gilles de Robien, sur la rentrée scolaire. Pas de quoi fouetter un chat. Mais une occasion unique de bien montrer la métamorphose de Dominque de Villepin en présidentiable. On imagine Jacques Chirac suivre à la télévision, de son lit d'hôpital, cette inhabituelle sortie du conseil des ministres. De quoi le conforter dans son idée, avec la lecture des sondages, que la politique c'est aussi et surtout une question de méthode, ce que l'on peut, bien évidemment, regretter.

Sources : RFI

Posté par Adriana Evangelizt

 

Publié dans L'HOMME

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