SARKOZY FUSTIGE ENCORE DDV ET JACQUES CHIRAC

Publié le par Adriana EVANGELIZT

Et voilà, c'est reparti pour un tour ! Nicolas Sarkozy continue d'y aller de son venin à l'encontre de Dominique de Villepin. C'est plus fort que lui. Lui qui ne vit que d'après les sondages -pour voir comment se porte sa "cote"- doit évidemment l'avoir amère de constater que son concurrent monte allègrement dans l'opinion publique. La jalousie et le ressentiment qui le taraudent sont en deça des mots. Nous noterons quand même que si DDV fait tout son possible pour "colmater les brèches" et donner l'illusion qu'il n'y a pas de différents entre les deux hommes, Sarkozy -au contraire- ne peut s'empêcher d'aiguillonner... de piquer... et de remettre toujours les mêmes arguments sur le tapis. Le "suffrage universel" par exemple... en voilà bien une tare que le ministre de l'Intérieur se plaît à souligner comme si c'en était vraiment une. Quand on voit le nombre d'incapables qui ont été élus par le Peuple, ça nous fait plutôt sourire. Comme si le scrutin faisait la valeur d'un homme. Il y a en Sarkozy un côté primaire et rustre qui n'échappe pas au regard averti. Il se conduit un peu comme les gamins dans la cour de récréation. "T'as vu, lui il a fait ça..." C'est minable. De plus son manque de respect à l'égard du Président de la République est inadmissible. Il a tendance à oublier le fils de l'immigré hongrois que sans Jacques Chirac, il n'occuperait pas le trône où il est confortablement assis. Le peu de reconnaissance en la matière prouve bien l'ingratitude et la dévorante ambition du sire. "Je t'écrase pour mieux t'enfoncer et prendre ta place..." Qu'il médite bien sur cette maxime : "Rien n'est jamais acquis"... quant à nous seriner "Je pense qu'ils attendent un candidat ou une candidate qui parle de façon compréhensible, qui ressemble aux Français." Il pense oui... mais ce "qu'il pense" est loin d'être ce qui est. Il ne faudrait pas qu'il prenne ses rêves pour des réalités. Car "s'il pense" qu'il "ressemble aux Français"... nous reposons la question : de quels Français s'agit-il ?  De ceux qui vivent sur notre sol mais qui sont inféodés à d'autres Etats ? De ceux qui exacerbent le racisme ? De ceux qui lui ressemblent finalement... pour nous le vrai Français est celui qui vit pour la France et qui en possède les vraies valeurs... Liberté Egalité Fraternité... or Sarkozy ne nous semble pas porter notre idéal dans son coeur... lui c'est plutôt Sécurité-Oppression-Inégalité-Discrimination... du moins c'est l'impression qu'il donne.

Sarkozy dresse un portrait du futur président de la République devant l'UMP

 

Nicolas Sarkozy a dressé samedi un portrait du futur président, ou de la future présidente, de la République, qui selon lui "ressemblerait aux Français", "s'engagerait sur des résultats" et "tirerait les conséquences du fait de ne pas les tenir".S'exprimant devant plus de 1.500 nouveaux adhérents de son parti venus de toute la France et réunis dans la capitale, le président de l'UMP s'est bien gardé de citer quiconque.

L'ombre de Jacques Chirac, réélu en 2002 avec plus de 82% des voix, n'était pourtant pas loin lorsque M. Sarkozy a assuré qu'il ne croyait "pas que les Français attendent un président pour la prochaine présidentielle absolument infaillible sur tous les sujets, comme marchant au-dessus des eaux, parce qu'(il serait) oint du suffrage universel".

 Au contraire, les Français "attendent un candidat ou une candidate qui parle de façon compréhensible, qui ressemble aux Français et qui leur dit: +voilà mon projet pour cinq ans, voilà ce que je veux faire, comment je le ferai, avec qui je le ferai et quand je le ferai+", a soutenu M. Sarkozy.

"Une équipe, un projet, un calendrier: voilà la vision moderne de la démocratie française, c'est-à-dire un président qui s'engagerait sur les résultats et tirerait toutes les conséquences du fait de ne pas les tenir", a-t-il également affirmé.

Selon lui, "c'est comme ça qu'on peut revivifier la démocratie française".

 De Jacques Chirac, il avait été question quelques instants plus tôt, au cours de cette réunion célébrant le 200.000ème adhérent de l'UMP. M. Sarkozy, satisfait d'avoir "réussi" son "pari" de doubler le nombre des adhérents UMP en un an, avait d'ailleurs voulu donner un air de fête à ce rassemblement.

Le show avait commencé par une (pâle) imitation du président de l'UMP par le comique Gérald Dahan, qui s'est successivement moqué de François Bayrou, "le Dick Rivers de la politique, moitié ringard, moitié grotesque", Ségolène Royal, "la crème anglaise parce qu'elle accompagne le flan" (comprendre: François Hollande, son compagnon), Laurent Fabius, "champion de tours de passe-passe", ou Arlette Laguiller, qualifiée de "Mémée chandail".

"Et Chirac, le président sortant ? Il est persuadé que président, c'est un camembert", a lancé le comique, déclenchant rires et applaudissements dans la salle.

Un peu plus tard, M. Sarkozy a affirmé à la presse que Gérard Dahan ne l'avait pas informé du contenu de son show.

Avant la clôture du spectacle une heure plus tard sur des chansons interprétées par Didier Barbelivien et Faudel, la 200.000ème adhérente, Céline Carrère, 29 ans, est montée sur scène.

"J'ai décidé d'apporter mon soutien à la candidature de notre président qui saura relever les défis de la France de demain", a assuré la jeune femme devant M. Sarkozy, qui doit pourtant attendre le congrès de son parti en janvier 2007 pour être choisi comme candidat par les adhérents de l'UMP.

Sources : YAHOO

 

Nicolas Sarkozy fustige son propre exécutif


Le président de l'UMP reproche au chef de l'Etat de se focaliser "sur les mots pour mieux oublier les maux". Le Premier ministre, lui, marcherait "au-dessus des eaux".

Nicolas Sarkozy contre-attaque. Le président de l'UMP, rappelé à l'ordre cette semaine par Jacques Chirac sur son vocabulaire, a reproché samedi 17 décembre au chef de l'Etat de se "focaliser sur les mots" qu'il a employés à propos des banlieues pour oublier les "vrais maux" de la société française.


Nicolas Sarkozy, qui accueillait le 200.000e adhérent de l'UMP salle Gaveau dans le 8e arrondissement de Paris, a répondu aux dernières attaques du camp chiraquien contre lui et attaqué implicitement son rival Dominique de Villepin.



"Le choix des mots"

Le premier à en prendre pour son grade a été Jacques Chirac. Mardi dernier, le chef de l'Etat avait rappelé à l'ordre le ministre de l'Intérieur pour son vocabulaire. "En politique, le choix des mots est évidemment essentiel", avait déclaré Jacques Chirac dans Le Parisien.


La remarque visait le terme de "racailles", employé le 26 octobre dernier par M. Sarkozy à Argenteuil (Val-d'Oise). La gauche et le ministre délégué à la Promotion de l'Egalité des chances Azouz Begag avaient accusé le ministre de l'Intérieur d'avoir contribué à l'explosion de violence qui a embrasé peu après les banlieues.

"On se focalise sur les mots pour mieux oublier les maux, les vrais. On se focalise sur la dénomination pour mieux occulter la réalité", a répliqué samedi M. Sarkozy.


Pour le ministre de l'Intérieur, qui n'a toutefois pas utilisé le terme de "racailles", "celui qui brûle une voiture, c'est un voyou, c'est un délinquant, et il doit être traité comme tel".


Chargé de chauffer la salle, Gérald Dahan avait donné le ton. "Le mot président, moi, je sais que c'est un boulot. Lui, il est persuadé que c'est un camembert", a plaisanté l'humoriste dans une imitation de Nicolas Sarkozy parlant de Jacques Chirac.


Tout au long d'une allocution-fleuve d'une heure devant un public de 1.500 personnes, Nicolas Sarkozy a revendiqué son discours de droite face à ceux qui l'accusent de "dérive droitière". "Au nom de quoi être de gauche c'est noble, et être de droite ou du centre, on devrait commencer par s'en excuser?", a-t-il lancé.


"A force d'être nulle part, on a fini par perdre beaucoup d'électeurs", a-t-il également remarqué dans une autre pique à Jacques Chirac. "Tout là-haut, il y a peu d'oxygène, et quand il y a peu d'oxygène, il y a peu d'électeurs."


Nicolas Sarkozy a donc persisté et signé dans ses critiques contre le modèle social français. Il a ainsi estimé que l'augmentation "faramineuse" de la dette publique mise en lumière par le rapport Pébereau nécessitait de "ne pas remplacer tous les départs à la retraite" des fonctionnaires.



"L'auto-flagellation"

Le ministre de l'Intérieur est aussi revenu sur la polémique concernant le "rôle positif" de la colonisation, pour dénoncer "l'auto-flagellation permanente" dans laquelle se complairait la France sur son passé et accuser la gauche "d'exploiter à des fins exclusivement politiciennes" l'émotion créée par l'article 4 de la loi du 23 février 2005.


Nicolas Sarkozy n'a pas manqué d'évoquer la présidentielle. Il a confirmé aux nouveaux adhérents de l'UMP qu'ils voteraient début 2007 pour désigner le "seul" candidat soutenu par le parti à l'élection présidentielle, conformément à la décision prise le 6 décembre dernier par le bureau politique.


Le président de l'UMP a surtout dressé un portrait-robot du candidat idéal qui lui ressemble étrangement, et fort éloigné de son rival Dominique de Villepin.


"Je ne crois pas que les Français attendent un président (...) absolument infaillible sur tous les sujets, comme marchant au-dessus des eaux parce que loin du suffrage universel", a-t-il dit. "Je pense qu'ils attendent un candidat ou une candidate qui parle de façon compréhensible, qui ressemble aux Français."


Nicolas Sarkozy a terminé son discours en évoquant l'agenda de l'UMP pour 2006, "année importante", mais "un peu moins que 2007". Il a précisé que les militants seraient consultés sur le projet du parti avant le conseil national qui se réunira en septembre pour l'entériner.


Celui qui veut construire "un grand parti populaire" s'est fixé l'objectif de dépasser "largement" les 250.000 adhérents fin 2006. Un an après son élection, le président de l'UMP a déjà tenu son premier pari, doubler leur nombre pour atteindre fin 2005 la barre des 200.000. Le parti comptait samedi 208.354 encartés, selon Yves Jégo, chargé des nouvelles adhésions.

 
Nicolas Sarkozy a accueilli à la fin de la réunion le 200.000e adhérent, Céline Carrère, cadre commerciale à Paris. Sa motivation à l'UMP? "Soutenir la candidature de notre président".

Sources : NOUVEL OBSERVATEUR

Posté par Adriana Evangelizt

Publié dans Villepin Sarkhozy

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M
Monsieur nicolas,<br /> Concernant l'aplatissement vous parlez un peu vite, en faisant d'étrange amalgame... le seul politicien français qui, à mon sens ne s'est pas aplati face à Bush et le seul à avoir fait en sorte de lui résister efficacement, c'est bien De villepin !!! Où étiez vous durant ces chaudes journées, vous vous cherchiez probablement une âme de présidentiable ! Y'en a un peu mare de tous ces politiciens qui se rêvent tous les soirs en Président des français ! Et vous semblez n'en être qu'un de plus, malgré votre gaullisme proclamé !? Bien cordialement. Marcel
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L
Cher nicolas, bonjour, Bravo pour ton gaullisme proclamé mais on ne t'a jamais vu très actif contre Sarkozy, ni contre Bush (lors de l'invasion de l'Irak !).En outre l'intéressé (Sarko) semble te prendre lui-même beaucoup moins au sérieux que monsieur De villepin ... point de vue concurrence... s'entend ! Tu as peut-être aussi un peu trop tendance à vouloir devenir absolument président comme Sarko !? Qu'en dis-tu ??? Mais tu pourrais peut-être faire un bon second ou adjoint pour De villepin, mais bien sûr ce sera à lui de choisir, le moment venu ! Une élection présidentielle, c'est une hosmose, une symbiose entre un peuple et un présidentiable ! Comme je le dirais à Sarko, cela ne s'impose pas, ni par combine ni par rage ... ce ne sont donc pas les premiers inscrits qui gagnent forcément ! En d'autres mots, c'est pas chacun à son tour comme à confesse ! Bien cordialement.<br /> Louis
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N
<br /> <br /> Le meilleur élément à l'UMP c'est sans conteste Nicolas DUPONT-AIGNAN ; lui il a les idées, il n'imite pas il innove...<br /> <br /> Il existe autre chose que le camp de la résignation, autre chose que la culture trentenaire de l'aplatissement (Villepin, Sarkozy), il y a l'alternative NDA - Nicolas DUPONT-AIGNAN, un vrai choix d'avenir, un homme qui croit en la France, un homme qui fixe un cap pour son pays et qui va le tenir!<br /> <br /> Un France retrouvée, une France rassemblée, un projet novateur pour le pays<br /> NDA2007 - Nicolas DUPONT-AIGNAN Président !<br /> www.nda2007.fr<br /> <br /> <br /> <br /> <br />
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L
Sacré Wickler,<br /> toujours à te distinguer, mais pas forcément dans le bon sens comme on dit ! j'ai vu ton site et apparement ce qui te distingue c'est plutôt ton bushisme ... tu voudrais probablement davantage de guerre au proche-orient pour te sentir davantage en sécurité, si je t'ai bien compris !!! Et puis en terme de "racailles" sans faire aussi bien que Sarko, tu te débrouilles quand même ! Louis
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W
Tout ça n'est que du blabla, du flan, uniquement pour faire parler les médias et les citoyens... et apparement ça marche.<br /> Qu'ils continuent, les gens vont se lasser et j'espère réagiront par les urnes en sanctionnant les sarko et autre villepin.<br /> Donc, continuez messieurs vous-vous auto-éliminés de la course...<br /> <br /> u-s-f@hotmail.fr<br /> Union de Sauvegarde de la France
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