Sarkozy aux Etats-Unis

Publié le par Adriana EVANGELIZT

Sarkozy aux Etats-Unis, on pourrait écrire là encore un roman.  On va se contenter juste de parler de Michael Chertoff qu'il doit rencontrer et ce n'est certainement pas un hasard. Qu'il ne prennent pas les Français pour des imbéciles Sarko, il y en a certes beaucoup qui ignorent ce qui se passe dans les coulisses mais notre devoir est de les éclairer. Qui est donc Michael Chertoff ? Lire une biographie intéressante ICI... il fut d'abord l'assistant de Rudolf Giuliani, l'homme qui ne supporte pas les miséreux... mais surtout "En premier lieu, il joue un rôle important dans la faction sioniste de la communauté juive états-unienne. Fils de rabbin, il a placé ses enfants dans des écoles juives, tandis que son épouse présidait la section du New Jersey de l’Anti-Defamation League. Il entretient des liens étroits avec l’American Jewish Congress et participe ostensiblement à toutes ses manifestations mondaines. Il ne cache pas conduire, à travers ses fonctions publiques, un combat personnel contre ceux qu’il considère comme les ennemis de sa communauté : aussi bien David Duke, grand dragon du Klu Klux Klan, que des militants de la cause palestinienne liés au Jihad islamique ou au Hamas." Avec Sarko, voyez-vous, on revient toujours au même point. Le sionisme et il ne peut pas le cacher, c'est plus fort que lui. Tout comme on revient aussi avec Michael Chertoff à l'extrême droite car "Michael Chertoff est membre de la Federalist Society, une association de juristes d’extrême droite. C’est dans ce cadre qu’il a préparé de longue date le volumineux USA Patriot Act, présenté et adopté en urgence au lendemain des attentats du 11 septembre. Par ce texte, il a réussi à faire suspendre pour quatre ans l’application de la Bill of Rights (les dix amendements constitutionels souvent qualifiés de « Déclaration des droits »). Il fait arrêter et placer au secret pour une durée indéterminée près d’un millier de musulmans étrangers, dans le cadre d’enquêtes anti-terroristes. Il met en place un programme d’audition « volontaire » et de fichage par le FBI de tous les musulmans du pays, étrangers et nationaux. Il préconise et suit en détail l’infiltration par le FBI de toutes les associations et lieux de culte musulmans du pays." Alors nul doute que si Sarko va aux States, ce n'est certainement pas pour y respirer l'air pur qu'il n'y a pas trop à New-York d'ailleurs. Aussi lorsque l'on apprend qu'un officier d'Interpol américain va travailler à la préfecture de Paris, cela ne nous tranquillise pas, loin s'en faut. Car notre pays -grâce à Sarko- est complètement infiltré tant par des espions américains que des pro-israéliens et sionistes. On voit clair dans son jeu. S'il devient président, on sait très bien à quoi va ressembler la France et de qui elle sera l'antichambre. On voit déjà le mal qu'il a fait depuis qu'il est au gouvernement. Toutes les lois racistes qui ont été votées et le communautarisme qu'il a bien créé. Ce n'est pas tout à fait ainsi que nous voyons l'âme de la République. Avec lui, nos symboles Liberté Egalité Fraternité sont partis à la poubelle pour transformer la France en Etat policier et totalitaire. Sarkozy est un danger pour la France, nous le répétons et le pensons sincèrement. Et ceux qui le soutiennent n'y voient pas plus loin que le bout de leur nez.

Sarkozy aux Etats-Unis pour le 11 septembre

et des réunions au sommet

Le ministre français de l'Intérieur Nicolas Sarkozy est arrivé samedi à New York, où il a remis l'ordre de la Légion d'honneur au chef de la police, Raymond Kelly, et où il devait assister à des cérémonies de commémoration des attentats du 11 septembre 2001.

"Pas un seul Français n'a oublié ce qui s'est passé il y a cinq ans. Quand New York a été meurtri, ce sont tous les Français qui ont été blessés", a-t-il dit lors de la cérémonie au consulat de France, en présence du maire Michael Bloomberg.

Le numéro deux du gouvernement français, candidat favori de la droite pour la présidentielle de 2007, est arrivé pour une visite de quatre jours à New York puis Washington, où il doit notamment rencontrer la secrétaire d'Etat américaine Condoleezza Rice.

"Nous savons que ce qui s'est passé à New York aurait pu se passer à Paris", a-t-il dit samedi. "Ceux qui ont fait cela sont des criminels, des barbares, et rien ne peut justifier ce qu'ils ont fait. Dans ce combat, les Français sont vos amis. Les Français, M. Kelly, pas seulement moi, car je vais vous faire une confidence: en France il n'y a pas que moi qui aime les Américains!"

"Cette médaille, chaque New-Yorkais qui a perdu quelqu'un dans sa famille, ou qui s'est comporté courageusement, chaque New-Yorkais aurait mérité cette légion d'honneur", a-t-il ajouté, vantant le courage des policiers le jour du drame mais aussi "les résultats exceptionnels" de la police de New York dans sa lutte générale contre la criminalité.

Nicolas Sarkozy ne cache pas qu'il voit l'action de la police new-yorkaise comme un modèle. La "tolérance zéro" est la seule solution possible face à la criminalité, a dit à la presse le ministre.

Après avoir remercié "le peuple de France pour son formidable soutien à la ville de New York" - et évoqué ses nombreuses vacances en France avec sa famille - Ray Kelly a souligné l'importance de la coopération internationale dans la lutte contre le terrorisme.

"Notre ville est mieux protégée que jamais, mais rien ne nous indique que ce combat pourra s'arrêter bientôt, dans aucune grande ville. Et l'un des éléments de la lutte est la force de nos partenariats dans le monde", a-t-il dit.

La police de New York a des officiers de liaison installés dans 10 villes étrangères, dont Lyon (Interpol). L'un d'eux vient de prendre ses fonctions à la préfecture de police de Paris, a indiqué samedi le ministère de l'Intérieur.

M. Sarkozy effectue de fait ce voyage en tant que ministre de l'Intérieur, pour parler des questions liées au terrorisme, selon son entourage.

Mais après son déplacement vendredi à Bruxelles consacré à la "relance" européenne, il entend également, à l'occasion de cette visite outre-Atlantique, peaufiner sa stature internationale.

Après une cérémonie en l'honneur des pompiers de New York dimanche et un office du souvenir lundi à la mémoire des victimes des attentats, il doit rencontrer Kofi Annan au siège de l'Onu lundi.

Il se rendra mardi dans la capitale fédérale pour des entretiens avec Mme Rice, le secrétaire à la sécurité intérieure Michael Chertoff, le sénateur républicain John McCain, candidat potentiel à la présidentielle de 2008, et le démocrate Barack Obama.

M. Sarkozy, souvent accusé par ses adversaires d'être trop atlantiste, se défend d'être un admirateur aveugle des Etats-Unis. "Allié ne veut pas dire rallié", a-t-il répété à la presse à New York samedi.

Dans une pique en direction du duo de l'exécutif français, le président Jacques Chirac et le Premier ministre Dominique de Villepin, M. Sarkozy estime cependant, dans un entretien publié dans le Monde de dimanche, que Paris a eu raison "d'avertir la communauté internationale et les Américains des risques d'une guerre en Irak" en 2003 mais il juge que "la menace du droit de veto (à l'Onu) était inutile".

Sources : AFP

Posté par Samuel Roth et Adriana Evangelizt

Publié dans SARKOZY NEO CONS

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