La rencontre Bush-Sarkozy ouvre une "nouvelle ère"
Est-ce que Nicolas Sarkozy a demandé des nouvelles des 1 million d'Irakiens qui ont trépassé grâce à la démocratie de Bush et de sa clique ? Aujourd'hui, on a vraiment honte d'être français. Mais ce n'est sans doute qu'un début. Nul doute que lorsque l'Iran va être pilonné, Sarkozy prêtera main forte. Ainsi, la France et les Français seront conspués dans le monde entier. On remplacera l'Espagne et l'Italie, grands amis d'Adolf lors de la dernière guerre.
La rencontre Bush-Sarkozy ouvre une "nouvelle ère",
selon la presse américaine
Le style de la rencontre, chaleureuse et simple, entre le président Bush et son homologue Nicolas Sarkozy marque une "nouvelle ère" dans les relations entre les deux pays, relevait dimanche la presse américaine qui souligne que des "frites de la liberté" n'ont pas été servies au pique-nique.
En mars 2003, en représailles à la position française contre la guerre en Irak, des parlementaires américains avaient fait bannir des cafétérias du Congrès l'appellation "French Fries" (communément utilisée pour désigner les frites) pour les remplacer par "Freedom Fries" (frites de la liberté).
"Recevoir (samedi) le président français, qui vient d'être élu, à la résidence familiale des Bush pour un déjeuner privé - un événement informel rare loin des formalités diplomatiques d'usage - a symbolisé une nouvelle ère dans les relations franco-américaines", estime le Washington Post.
"Loin de lui servir des 'frites de la liberté', M. Sarkozy (...) a reçu un accueil chaleureux habituellement réservé aux Britanniques", poursuit le journal de la capitale.
"Le président Bush, connu dans le passé pour la froideur manifestée à l'égard des Français, était pour ainsi dire rayonnant quand il a accueilli M. Sarkozy dans la maison familiale de ses parents", à Kennebunkport (Maine, nord-est).
M. Sarkozy "est, semble-t-il, le type de Français qu'il aime : énergique, un type suffisamment sûr de lui pour braver l'opinion publique française et passer ses vacances en Amérique", ajoute le Post.
"Le président Bush a accueilli son homologue français, Nicolas Sarkozy, avec une chaleureuse tape sur l'épaule" et il n'y avait pas de "toute évidence des Freedom Fries", écrit de son côté le New York Times.
Le déjeuner "était beaucoup plus l'occasion de créer des liens que de traiter d'affaires étrangères", poursuit le Times.
"Solennel et vêtu d'une espèce de costume d'homme d'affaires, (le Premier ministre britannique Gordon) Brown semblait décidé à marquer les différences entre lui et l'administration Bush", lorsqu'il avait rencontré M. Bush fin juillet dans la résidence présidentielle de Camp David (Maryland, est), écrit le Los Angeles Times.
"Sarkozy n'a pas manifesté samedi cette réserve en dépit d'un pique-nique qui pourrait heurté le palais français : des hot-dogs, des hamburgers, des épis de maïs, des haricots et une tourte aux myrtilles", ajoute le LA Times.
L'absence de Cécilia Sarkozy, qui s'est décommandée parce qu'elle était souffrante, a été évoquée mais sans commentaire par la presse américaine.
Sources Le Monde
Posté par Adriana Evangelizt