Nicolas Sarkozy, l'ami de la paix
Alors un article qui nous vient d'Israël et que nous avons trouvé très beau. Eh oui... parce que malgré tous ceux qui nous déblatèrent, nous critiquent, nous insultent, tous les sionistes extrêmistes qui nous vilipendent, nous voulons la Paix entre les Peuples de tout de notre coeur. Seulement tant que les idéologues sionistes purs et durs feront leur loi en Israël, au Proche-Orient et dans le monde, il n'y aura jamais de paix car ils ne la veulent pas, ils veulent toute la terre... croyez-le, pour le peu de temps qu'il nous reste à vivre sur cette planète avant la Grande Catastrophe, il serait temps de penser à la Paix et d'apporter un peu de bonheur aux Peuples du monde entier.
Nicolas Sarkozy, l'ami de la paix
Par Michel Kahn
La visite de Nicolas Sarkozy en Israël et dans les territoires palestiniens, quoi qu'en disent les journalistes de la presse israélienne, illustre parfaitement une politique de paix annoncée par le Président français, au cours de sa campagne, qu'il continue de prôner envers et contre tout.
Certes, les élections américaines constituent une opportunité à saisir pour l'Union Européenne si elle veut retrouver une place de premier choix au Moyen-Orient.
Certes, Nicolas Sarkozy a certainement un rôle à jouer pour redorer l'image de la France sur le plan international.
Certes, ceux qui accompagnent les ennemis d'autrefois sur la voix d'une paix juste et durable marquent aussi leur nom dans l'histoire. Il serait dommage cependant de réduire les ambitions du Président Sarkozy à un simple calcul politique.
En effet, les discours qu'il a prononcés devant les parlementaires de la Knesset ou au Palais présidentiel du Président Abbas à Bethléem sont des discours qui prônent l'unité, le pardon, la nécessité d'apprendre à vivre ensemble dans une région dans laquelle le sang coule tous les jours.
De Beyrouth à Jérusalem, de Bagdad à Gaza, depuis trop longtemps, la violence est un recours politique qui n'est plus acceptable.
Apprendre à penser autrement nos relations, apprendre à respecter et à connaître la culture de ses voisins, apprendre à dialoguer à échanger, tel est le message du Président français.
De qui s'inspire t-il ? De De Gaulle, de Marc Bloch, de Shimon Perez, qu'importe, son message reste un message de paix, de fraternité.
Ce sont, je crois, ces valeurs-là qui nous manquent encore et que nous ferions bien de méditer. Soucieux de ses frontières, jaloux de ses différences depuis un siècle, le Moyen-Orient se dit victime, martyre.
Le Président Sarkozy nous a invités à espérer, à construire un avenir de paix.
Parce que c'est un ami de la paix, et un ami de Moyen-Orient.
Depuis le quartier Newe Tsedek dans ma ville de Tel Aviv, j'ai vibré moi aussi et pour la première fois quand j'ai entendu le discours prononcé à la Knesset par le jeune Président français.
Il m'a donné l'espoir qu'un jour je franchirais la « bonne frontière », celle que je traversais autrefois pour faire quelques courses à Beyrouth, celle que demain peut-être mes amis libanais pourront franchir, pour aller faire du shopping au centre « Dizengoff », ou découvrir la Marina d'Herzlya.
Oui, j'ai rêvé en écoutant Nicolas Sarkozy qu'un jour peut-être le Moyen-Orient s'unira pour devenir une force de paix, une force d'avenir.
Quelle ne fut pas ma surprise de lire une presse française qui ne sut pas accorder la dimension et l'importance des mots choisis, des métaphores subtiles, de l'audace politique, celle d'un homme qui reprend le flambeau de l'espoir.
Que lui reproche-t-on en France ? Les indispensables réformes auxquelles il ne renoncera pas, la beauté de la première dame de France, sa sincérité audacieuse, son regard franc ?
Ceux qui dénoncent encore dans les propos de Sarkozy la division de Jérusalem ou la fin de la colonisation des territoires occupés par Israël n'ont peut-être pas compris que Sarkozy l'ami de la paix nous invite à rêver à un Moyen-Orient sans frontières, héritières d'un colonialisme d'un autre âge, irrespectueuses des paysages qui nous rapprochent, de la mer dans laquelle nous nous baignons tous.
Ah ! Trop nombreux en Europe sont ceux qui ne comprennent pas le sens politique d'une Union pour la Méditerranée, cette mer qui étymologiquement et géographiquement rassemble nos rivages, nos plaines, nos paysages.
Le voyage de Nicolas Sarkozy en Israël a ceci d'original qu'il n'est pas venu célébrer l'anniversaire de la création de l'Etat d'Israël, ni la création d'un Etat Palestinien.
Nicolas Sarkozy est venu nous inviter à faire la paix et à la célébrer tous ensemble le 13 juillet à Paris au sommet de cette Union méditerranéenne, et le 14 juillet, pour célébrer la liberté, et se tendre la main pour faire la paix.
Si j'étais Bashar El Assad, je tendrais la main. Si j'étais Ehoud Olmert, je tendrais aussi la main à la paix.
SourcesGuysens News
Posté par Adriana Evangelizt