Nucléaire : la bataille ne fait que commencer
On voit là l'aveuglement de notre monde et de ceux qui nous gouvernent. Le réchauffement climatique n'est pas du tout dû à l'activité humaine mais au Soleil et ceux qui défendent cette thèse et qui ne font pas partie du GIEC sont vilipendés et ostracisés. La manipulation du réchauffement climatique a pour but de promouvoir l'énergie nucléaire justement et c'est Madame Thatcher qui avait commencé à s'y intéresser. On pose une video d'une série qui explique le problème.
L'autre chose ignorée est que notre planète se prépare à un basculement des pôles et c'est pour cette raison qu'il y a de plus en plus de séismes et de catastrophes. La disparition des abeilles est un des grands indices et n'est pas dû aux pesticides. Einstein disait lorsque les abeilles commenceront à disparaître, il restera quatre années avant la fin de l'Humanité. Il avait raison. Il va se produire la même catastrophe qu'il y a 12 960 ans. Et les écervelés qui ne pensent qu'au business construisent de plus en plus de centrales nucléaires alors qu'il y a de plus en plus de tremblements de terre et qu'il va y en avoir toujours davantage jusqu'à la phase finale. Il y a déjà une alerte en Chine où une fuite de produits chimiques s'est produite à proximité de la frontière russe lors du tremblement de terre. En Israël plus de 500 petits séismes ont été signalés depuis février. Doit-on rappeler qu'il y a au moins une centrale nommée Dimona ? Est-ce que les petits séismes ne pourraient pas la fissurer tant soit peu ? Et que dire justement d'un camion radio-actif portant des tuiles bloqué à la frontière égyptienne et renvoyé en Israël ? Nous ne disons pas ça pour dénigrer mais pour signaler un problème dont tout le monde se fout. A savoir que le nucléaire avec les tremblements de terre qui vont aller crescendo est loin d'être une bonne idée. Est-ce que Sarkozy sait cela ? Non, car c'est un inculte et qu'il ne sait même pas comment fonctionne notre planète, lui et tant d'autres. Et nous, on nous prend pour des illuminés alors que l'on est sûr de ce que l'on affirme. Imaginez un peu lors du cataclysme planétaire -dans trois à quatre ans- dans quel état vont se trouver les centrales nucléaires ? Les inconscients qui les construisent pensent-ils qu'elles vont résister aux soubresauts de la Terre et aux éruptions volcaniques qui elles aussi sont de plus en plus nombreuses ? Non. Ca ne leur effleure même pas l'esprit tout comme à la quasi totalité de l'Humanité. Tout le monde dort.
La bataille ne fait que commencer
par Eric Albert
Le nucléaire connaît une véritable renaissance. Il a retrouvé de son intérêt avec le réchauffement de la planète, puisqu'il permet de produire de l'électricité sans émettre de CO2.
D'immenses marchés sont donc à prendre. Selon l'Autorité de sûreté nucléaire française (ASN), 250 nouveaux réacteurs sont en construction ou en projet à travers le monde, pour un parc actuel de 440 réacteurs. Les projets se situent en Chine, en Inde, aux Etats-Unis, au Royaume-Uni, en Afrique du Sud, au Brésil... Sans compter la Suisse, où Atel a récemment annoncé qu'elle voulait construire une nouvelle centrale, et l'Italie, qui envisage de nouvelles centrales malgré un référendum s'y opposant il y a vingt ans.
Quelques rares entreprises se battent sur ce marché. Les Français EDF et Areva, parmi les leaders mondiaux, espèrent imposer leur technologie EPR malgré leurs difficultés en Finlande et les retards de leur deuxième centrale, en construction en Seine-Maritime. Le 26 mai, l'ASN a tapé sur les doigts d'EDF, le constructeur: activités de bétonnage suspendues, suite «au manque de rigueur en matière de contrôle technique». Mais, le 18 juin, les travaux ont pu recommencer après les promesses faites par l'électricien.
Dans le même temps, la concurrence rattrape son retard, avec General Electric, associé à Hitachi; Atomic Energy of Canada; et l'américain Westinghouse Electric (qui appartient à Toshiba), avec son modèle AP 1000. Ce dernier est le concurrent le plus sérieux: quatre commandes ont été passées par la Chine l'an dernier, et quatre autres viennent d'être signées aux Etats-Unis, les premières depuis 1978.
Areva réplique que ses problèmes actuels relèvent du génie civil et non de la technologie EPR. Selon Philippe Knoche, qui dirige le chantier d'Olkiluoto, les difficultés actuelles sont autant d'expérience acquise. «Bien sûr, si tout s'était passé comme prévu, cela aurait été mieux d'un point de vue commercial. Mais nos clients savent que ce sont des projets très difficiles à mener et ils préfèrent travailler avec quelqu'un qui a de l'expérience.» Il en veut pour preuve la commande en novembre dernier de deux centrales EPR en Chine. La bataille ne fait que commencer...
Sources Le Temps
Posté par Adriana Evangelizt