Villepin prend ses distances avec l'ancien patron des RG
On comprend mieux pourquoi DDV est ainsi persécuté. Il doit savoir bien des choses. Il faut que DDV fonde un autre parti. Un vrai Parti Républicain. Ce qu'il traverse n'est qu'une épreuve. Il en a vu d'autres que diantre ! Ce qu'ON cherche à faire, c'est le noircir et peut-être lui coller "un casier" pour ne plus qu'il puisse faire de la politique. Allez donc savoir...
Villepin prend ses distances avec l'ancien patron des RG
"Les rumeurs et les ragots font partie de la République, je le regrette et j'en ai moi-même été victime, et je continue de l'être avec l'affaire Clearstream." Invité à réagir à la plainte déposée jeudi par le chef de l'État contre l'ancien chef des Renseignements généraux (RG) après la publication exclusive dans Le Point d'extraits de carnets personnels d'Yves Bertrand sur la vie privée de nombreuses personnalités politiques et notamment celle de Nicolas Sarkozy , Dominique de Villepin a affirmé sur RTL qu'il "n'a[vait] rien à voir avec les carnets secrets des RG".
Des carnets qui témoignent des moyens mis en oeuvre pour déstabiliser Charles Pasqua , Nicolas Sarkozy et Lionel Jospin alors Premier ministre de Jacques Chirac entre 1997 et 2002. L'ancien dirigeant socialiste s'est d'ailleurs étonné dans les colonnes du Point cette semaine "du nombre extravagant (trente-trois !) de rendez-vous qu'il [Yves Bertrand, NDLR] aurait eus avec Dominique de Villepin, secrétaire général de l'Élysée entre janvier 2001 et octobre 2002". L'ancien Premier ministre socialiste suggère au passage que "le fonctionnaire [aurait] été encouragé à se comporter ainsi". Alors, nous serions "devant un scandale d'État", lance-t-il.
"Il n'y a rien de tout cela. Je n'ai pas eu connaissance de ces carnets. Je n'ai pas lu Le Point . Je n'ai aucun rapport dans cette affaire", a rétorqué Dominique de Villepin. Il a ensuite justifié ses rendez-vous avec Yves Bertrand par le fait de maintenir le niveau de connaissance de Jacques Chirac. "Au cours de cette période spécifique qui est celle de la cohabitation, le président de la République ne bénéficie pas des informations normales, institutionnelles qu'il devrait avoir pour exercer sa fonction. Au cours de cette période il n'y a pas de notes, il n'y pas d'informations orales comme il y en a en temps normal. Entre 1997 et 2002, l'Élysée était informé tous les quinze jours, trois semaines, des grandes questions qui ont marqué cette cohabitation : risques terroristes, AZF, problèmes corses, problèmes basques. Autant d'éléments qui justifient l'information du chef de l'État. Il y a là de quoi rassurer l'ancien Premier ministre", s'est justifié l'ancien locataire de Matignon.
Sources Le Point
Posté par Adriana Evangelizt
Des carnets qui témoignent des moyens mis en oeuvre pour déstabiliser Charles Pasqua , Nicolas Sarkozy et Lionel Jospin alors Premier ministre de Jacques Chirac entre 1997 et 2002. L'ancien dirigeant socialiste s'est d'ailleurs étonné dans les colonnes du Point cette semaine "du nombre extravagant (trente-trois !) de rendez-vous qu'il [Yves Bertrand, NDLR] aurait eus avec Dominique de Villepin, secrétaire général de l'Élysée entre janvier 2001 et octobre 2002". L'ancien Premier ministre socialiste suggère au passage que "le fonctionnaire [aurait] été encouragé à se comporter ainsi". Alors, nous serions "devant un scandale d'État", lance-t-il.
"Il n'y a rien de tout cela. Je n'ai pas eu connaissance de ces carnets. Je n'ai pas lu Le Point . Je n'ai aucun rapport dans cette affaire", a rétorqué Dominique de Villepin. Il a ensuite justifié ses rendez-vous avec Yves Bertrand par le fait de maintenir le niveau de connaissance de Jacques Chirac. "Au cours de cette période spécifique qui est celle de la cohabitation, le président de la République ne bénéficie pas des informations normales, institutionnelles qu'il devrait avoir pour exercer sa fonction. Au cours de cette période il n'y a pas de notes, il n'y pas d'informations orales comme il y en a en temps normal. Entre 1997 et 2002, l'Élysée était informé tous les quinze jours, trois semaines, des grandes questions qui ont marqué cette cohabitation : risques terroristes, AZF, problèmes corses, problèmes basques. Autant d'éléments qui justifient l'information du chef de l'État. Il y a là de quoi rassurer l'ancien Premier ministre", s'est justifié l'ancien locataire de Matignon.
Sources Le Point
Posté par Adriana Evangelizt