Chirac un compte de 300 millions au Japon
Le scoop ! Jacques Chirac aurait un compte en banque de 300 millions de francs au Japon. D'après le Canard Enchaîné et les dires du Général Rondot... De rebondissement en rebondissement, on ne va plus savoir où donner de la tête... Je trouve bien curieux le comportement de ce Rondot... d'ici que ce que je disais ICI s'avère vrai, il n'y a pas loin. Les manipulés ne sont peut-être pas ceux que l'on croit ni les "victimes" d'ailleurs... je vous envoie le scoop et je poursuis mon enquête...
Du Sushi à se faire !
De retournement en retournement, il y a de quoi en être tout retourné. Juste au moment où nul ne misait plus un sou sur le soutien de Chirac à Villepin, voilà que c'est Chirac qui part soudain en vrille avec la révélation (voir page 3) de quelques paragraphes oubliés dans la longue déposition du Général Rondot. L'ancien maître-espion y évoque un lourd secret d'Etat, peut-être agrémenté et enjolivé par quelques manips barbouzardes : l'existence d'un compte au nom de Jacques Chirac dans une banque japonaise. Un compte qui aurait été crédité de quelques trois cents millions de francs. De quoi donner des aigreurs d'estomac aux juges qui ont vainement enquêté sur les 14 millions de frais de bouche de la mairie de Paris...
Pour le Président de la République, désormais touché par les ricochets de l'affaire Clairstream, l'exercice visant à débarquer Villepin en raison de sa mise en cause dans l'affaire Clearstream va devenir périlleux.
Les retournements se succèdent à une telle cadence que l'on risque, à chaque instant, de se tromper d'épisode. La manoeuvre qui visait à déstabiliser Sarko avec les faux listings est devenue une machine de guerre sarkozyste contre le clan Villepin. Du coup, le premier ministre qui devait protéger le chef de l'Etat et lui assurer une fin de mandat honorable ne tient plus que par le soutien obstiné de l'Elysée.
A moins que la situation ne soit encore toute retournée ? Un Galouzeau grièvement blessé peut encore mordre. Et il faudra bien qu'il explique aux juges pourquoi comme Ministre des Affaires Etrangères, il reçoit un général sur lequel il n'exerce aucune autorité, pour lui confier une mission qui relève d'un autre ministère. Rondot dit-il la vérité quand il explique que les ordres donnés par Villepin venaient, en réalité, du président de la République ? Si l'actuel Premier Ministre vient à confirmer cette version, il expédie la grenade à l'Elysée. Qui menace qui ?
Il ne faut pas oublier le corbeau, dont on se demande aujourd'hui s'il n'a pas été suivi par toute une escadrille. Il peut encore croasser, l'animal, surtout lorsque les juges-chasseurs se rapprochent dangereusement de la volière.
Nul ne sait de quoi est capable cet oiseau dont les derniers chants peuvent encore bouleverser la donne. Il suffit que le premier renard venu lui fasse ouvrir le bec avec cette simple question : pour le compte de qui, ce ramage ?
L'avenir du gouvernement, le sort du Premier Ministre et la réputation du président de la République, où ce qu'il en reste, sont ainsi suspendus aux éventuelles bouffées délirantes d'un dénonciateur de moins en moins anonyme, et à l'évolution d'une enquête sur des bouts de papier falsifiés. Quel qu'il soit, le maître d'oeuvre de cette opération, à la fois piteuse et terrifiante, doit être pris de vertige et d'ivresse. Est-ce lui qui est tellement puissant, où la cinquième république à ce point épuisée.
Sources : LE CANARD ENCHAÎNE
Posté par Adriana Evangelizt
Chirac serait titulaire d'un compte de 300 millions de francs au Japon
Le général Philippe Rondot a déclaré au cours de sa déposition le 28 mars devant les juges Jean-Marie d'Huy et Henri Pons, chargés de l'affaire Clearstream, que le président Jacques Chirac possédait un compte de 300 millions de francs au Japon, assure également Le Canard enchaîné dans son édition à paraître mercredi.
Selon Le Canard, le général Rondot a affirmé, citant des documents de la DGSE, que cette somme (environ 45,5 millions d'euros) aurait été versée sur ce compte, à la Tokyo Sowa Bank, au cours des dernières années par une mystérieuse "fondation culturelle". L'hebdomadaire publie un extrait du procès verbal de déposition du général Rondot dans lequel le témoin assure : "il est indiqué sur les documents que vous avez saisis à mon domicile que ce compte a été ouvert à la Tokyo Sowa bank et a été crédité d'une somme totale évaluée par les services de la DGSE à 300 millions de francs"
Sources : Le blog de Julien Tolédano
Posté par Adriana Evangelizt