Israël critique la politique proche-orientale de la France
Il a raison Gillerman... il y a longtemps que la France lance des fleurs aux terroristes... elle les a même aidés à avoir le nucléaire... la liste de leurs organisations terroristes est longue... on peut même dire qu'avant leur arrivée au Proche-Orient, il n'y avait pas de terrorisme. Il a de la chance, Gillerman que de Gaulle ne soit pas président. Ou son clone.
Et comme par hasard, nous apprenons que ce soir l'UMP organise un meeting avec un général israélien. Le présidentChirac est-il au courant ?
SALLE THIERRY LE LURON
9 BOULEVARD DU MIDI
93340 LE RAINCY
Nous, nous le sommes... et nous nous sommes relayés pour faire la pub... nous supposons que les sionistes extrêmistes seront présents pour lui servir de garde du corps...
A ce soir quiniim !
Dan Gillerman avec Chertoff, le copain de Sarko... qu'est-ce qu'il foutait à l'ONU ?
Israël critique la politique proche-orientale de la France
Israël s'en prend à la France à l'ONU. L'ambassadeur d'Israël à l'ONU Dan Gillerman a accusé, dimanche 19 novembre, la France d'avoir "lancé des fleurs aux terroristes" en poussant à l'adoption vendredi d'une résolution de l'Assemblée générale de l'ONU condamnant les opérations militaires d'Israël dans la bande de Gaza.
"La France n'enverrait pas des fleurs à ceux qui se livreraient à des tirs de missiles contre ses villes. Le soutien à cette résolution [de l'ONU] revient en fait à envoyer des fleurs au terroristes, des fleurs qui seront peut-être un jour déposées sur la tombe d'une victime israélienne supplémentaire", a affirmé M. Gillerman à la radio publique. L'Assemblée générale de l'ONU a demandé, vendredi, à une écrasante majorité, la fin de toutes les formes de violence entre Israël et les Palestiniens, dont les opérations militaires d'Israël à Gaza et les tirs de roquettes palestiniennes sur Israël.
La résolution demande également l'établissement d'une mission d'enquête sur l'action de l'artillerie israélienne qui a tué 19 Palestiniens, surtout des femmes et des enfants, le 8 novembre à Beit Hanoun, dans le nord de Gaza. "Ceux qui ont vu l'ambassadeur français à l'ONu s'agiter pour aller d'une délégation européenne à l'autre, tandis que les membres de la délégation française menaient d'innombrables consultations pour se coordonner avec les délégations palestiniennes et arabes, comprennent que des efforts allant au-delà du raisonnable ont été déployés pour faire adopter cette résolution notamment par les pays européens", a ajouté M. Gillerman.
Dans une autre interview au quotidien israélien Haaretz, M. Gillerman a déploré que les "Français aient fait preuve de trop de compréhension vis-à-vis du terrorisme tout en manifestant un manque de sensibilité pour les victimes du terrorisme". "Les Français ont exprimé leur colère vis-à-vis d'Israël à la suite des vols de l'aviation israélienne au-dessus des positions du contingent français au sud du Liban", a également estimé l'ambassadeur israélien.
Il faisait allusion aux tensions entre l'armée israélienne et le contingent français de la Force intérimaire des Nations unies au Liban (Finul). La défense anti-aérienne des casques bleus français s'est préparée vendredi à riposter, pour la troisième fois en l'espace de quelques semaines, à des survols par des avions israéliens d'une de leurs positions au Liban sud.
PROTESTATION FRANÇAISE
La ministre française de la défense, Michèle Alliot-Marie, avait déclaré, le 8 novembre, que des casques bleus français avaient été "à deux secondes", le 31 octobre, de tirer des missiles sol-air sur des chasseurs-bombardiers israéliens qui avaient piqué sur leur position au Liban sud. Paris avait formellement protesté auprès d'Israël après ce simulacre d'attaque.
De son coté, plus nuancé, le premier ministre israélien Ehoud Olmert a dénoncé, dimanche, "les donneurs de leçons" de l'ONU. "C'est à ceux qui tirent systématiquement et depuis longtemps contre des civils [israéliens], sans que les donneurs de leçons n'y voient une raison pour faire voter des résolutions à l'ONU pour les condamner, qu'il faut demander des explications", a affirmé M. Olmert à l'ouverture de la réunion hebdomadaire du cabinet israélien. "Nous considérons avec gravité cette résolution", a-t-il souligné.
"Nous n'avons aucun doute sur le fait que ce n'est pas à Israël de répondre des atteintes portées aux civils", a poursuivi M. Olmert, rappelant qu'Israël avait déjà exprimé ses "profonds regrets" suite à la bavure de son artillerie de Beit Hanoun.
MISSION D'ENQUÊTE À BEIT HANOUN
"Le gouvernement exprime sa totale confiance dans les forces de sécurité, dans l'armée et le chef d'état-major", a-t-il ajouté. "Nous faisons tout pour ne pas porter atteinte aux civils", a déclaré de son côté le ministre de la défense israélien, Amir Peretz, à la radio militaire. "Mais il est regrettable que personne ne suggère la création d'une commission d'enquête sur les organisations terroristes, le mouvement islamiste Hamas [au pouvoir] qui font au contraire tout pour porter atteinte à des civils innocents", a-t-il ajouté, faisant allusion aux tirs contre la ville de Sdérot (sud d'Israël) où il réside.
M. Peretz a pressé, dimanche, le président palestinien Mahmoud Abbas "d'exercer son autorité pour faire cesser les tirs de roquettes" sur Israël, a annoncé le ministère de défense. Selon cette source, lors d'un entretien téléphonique avec M. Abbas dont M. Peretz serait à l'origine, le ministre israélien a mis en garde :"Israël ne tolèrera pas la poursuite de ces tirs".
Trois Israéliens ont été blessés dimanche matin, dont un sérieusement, par l'explosion de deux roquettes tirées sur Sdérot (sud d'Israël) où une femme avait été tuée mercredi.
Sources : Le Monde
Posté par Adriana Evangelizt