Sarkozy et Joëlle Ceccaldi violent les règles électorales et constitutionnelles à Puteaux

Publié le par Adriana EVANGELIZT

Après Issy les Moulineaux, continuons dans les amis de Sarkozy, notamment Joëlle Ceccaldi Raynaud qui, elle, mobilise pendant deux heures des employés municipaux à Puteaux pour distribuer des tracts à l'effigie de Sarkozy quitte à contrevenir à la loi électorale et à violer la Constitution. Madame Ceccaldi Raynaud qui a fait construire un pseudo "centre communautaire" mais plus particulièrement une synagogue sur le dos du contribuable français pour un montant de 7.099.892,22 euros TTC. Une fois que l'on a compris comment fonctionne le système et l'infiltration Sioniste, tout s'éclaire. Notamment l'insistance de Sarkozy, ministre des cultes, pour que les édifices religieux soient financés par l'Etat mais surtout ceux de sa communauté préférée. La France est un pays laïc et nulle église, synagogue, mosquée ne doit être financée par le contribuable Français. Nous ne sommes pas les vaches à lait du Sionisme. Nous, encore moins que les autres et nous répétons PAS EN NOTRE NOM !

Sarkozy et Joëlle Ceccaldi violent les règles électorales

et constitutionnelles à Puteaux

par Jean-François Goulon

Webmaster de Questions critiques


La Mairie de Puteaux, par la voix de son Maire, Mme Joëlle Ceccaldi-Raynaud, suppléante de Nicolas Sarkozy à l'Assemblée Nationale, vient d'autoriser un affichage partisan à la gloire du candidat Sarkozy sur le domaine public de la ville (bacs à fleurs du pont de Puteaux).

Ce jeudi 19 avril, à trois jours du premier tour, la circonscription de Nicolas Sarkozy a connu quelques échauffements. Une opération illégale d'affichage et de racolage électoral a été organisée sur le Pont de Puteaux par Mme Joëlle Ceccaldi-Raynaud, qui a mobilisé des employés municipaux pendant leurs heures de travail pour distribuer les tracts du candidat UMP.

La Maire de Puteaux, Joëlle Ceccaldi-Raynaud, entourée d'employés municipaux et de militants

La publicité des candidats sur le bien public municipal (autre que les panneaux d'affichage électoraux), de connivence avec la mairie contrevient à la loi électorale et viole la constitution. Cela pourrait constituer un cas flagrant d'invalidation. Mme Joëlle Ceccaldi-Raynaud, quand à elle, devrait être poursuivie pour l'usage qu'elle fait des moyens de la ville, à son propre profit ou à celui de ses amis.

Prévenu par la bande, je me suis rendu immédiatement sur les lieux pour constater les faits, puis je suis retourné à mon domicile pour envoyer un communiqué de presse et en informer le Conseil Constitutionnel et la Commission Nationale de Contrôle (le CNC) du Conseil d'Etat. Ensuite, je suis retourné sur les lieux pour faire cesser le préjudice. Muni d'un gros feutre, j'ai apporté quelques corrections sur les affiches en rajoutant une petite moustache et une mèche sur le portrait du candidat. Rapidement, les gros bras de la mairie se sont interposés en confirmant qu'ils avaient l'autorisation de la mairie de Puteaux. Leur faisant valoir qu'une telle opération était non seulement contraire à la loi électorale mais qu'elle violait la constitution, ils m'ont répondu qu'ils ne faisaient qu'exprimer leur opinion. Sauf, bien entendu, qu'ils le faisaient sur le bien public de la ville !

Les panneaux de Sarko sur le pont de Puteaux


Après avoir subi quelques menaces, j'ai quitté les lieux pour alerter la cellule en charge des élections au Ministère de l'Intérieur. Je leur ai aussitôt faxé mon communiqué de presse. Ensuite, je suis reparti sur le Pont avec mon feutre et, en attendant les renforts policiers, j'ai poursuivi ma mission de salut public. J'ai pu "corriger" une douzaine d'affiches, devant des automobilistes enthousiastes qui m'applaudissaient, avant de me faire remarquer. Cette fois-ci, une sorte de barbouze en veste kaki, qui voulait en découdre, m'a bousculé. Je me suis éloigné en leur promettant l'arrivée imminente des forces de l'ordre.

Un quart d'heure plus tard, un détachement policier est arrivé sur place toutes sirènes hurlantes et gyrophares en avant : plusieurs fourgons, deux ou trois voitures de police et un véhicule de premiers secours au cas où. Les panneaux ont été rapidement démontés et la bande de malfaiteurs a été interpellée.

Les photos ont été empruntées au site Mon92.com

Jean-François Goulon
Questions Critiques

Voir
le communiqué de presse

JFG

Sources
Questions critiques

Posté par Adriana Evangelizt

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