Attali a écrit à Sarkozy pour "l'alerter sur le principe de précaution"
On se pose la question saugrenue "pour qui oeuvre Attali" -mais en réalité, nous savons pour qui il bosse ou pour quoi- parce que depuis toujours ne nous a pas échappé qu'il joue avec les mots. Leur donnant sa propre connotation à lui qui n'est souvent pas le sens général attribué. Lire Jacques Attali assigne des "terres promises" à la France ou Jacques Attali, les juifs, le monde et l'argent. Déjà -dans le dernier lien cité- lorsqu'il dit que "pour la Bible, la richesse est un moyen de servir Dieu", nous nous permettons de lui demander depuis quand Dieu a besoin de fric ? Les impositions et la dîme aux israélites ont été imposées par les Lévites Egyptiens dans le désert dont la soif de l'or est le principal vice. Ils plumaient littéralement nos pauvres ancêtres incultes dans le désert. Et les élites sacerdotales ont fait passer ce vice sur les juifs en général parce que les pauvres étaient tellement saignés à blanc qu'ils ont été obligés de se livrer au commerce pour survivre. Lire ICI, très instructif. Nous connaissons l'Histoire mieux que lui. En toute vérité. Et nous pouvons lui donner des leçons s'il veut. Nous parlons de ceci sur d'autres sites "spécialisés".
Le fait est qu'Attali oeuvre pour un monde matérialiste donc pour Mammon. Le dieu Argent. Et son esprit sionisant a tendance à tordre le cou à la vérité. Ainsi lorsqu'il dit "Le principe de précaution tel qu'il est écrit est un obstacle à l'innovation" car il confère à l'Etat "une attitude de prudence et donc d'interdiction", on voit là la rouerie de celui qui veut se faire passer pour un linguiste mais qui n'en est pas un. Loin s'en faut. Il faudrait qu'il nous explique encore depuis quand la "prudence" est associée à l'interdiction. Depuis quand en étant prudent, on interdit quelque chose. Mais il va plus loin, l'interdiction ne suffisant plus il l'appelle le "principe d'imprécation". Voilà habilement comment de la prudence on passe à l'imprécation dont le vrai synonyme est malédiction. Ainsi les Prophètes jetaient des imprécations aux Lévites et aux pharisiens pour leur soif de l'or, entre autres choses. On voit mal en quoi le mot prudence peut être donc associée aux termes interdiction et imprécation. La vérité, c'est que le principe de précaution a été rajouté à la constitution en 2004 pour protéger le pays et les citoyens des OGM. Or, Jacques Attali est pour les OGM et biotechnologies. Voir la video ICI... -au chapitre OGM- où il dit ce qu'il pense sur le sujet. Il est donc permis de penser qu'en voulant abroger le principe de précaution, il prêche pour sa paroisse et pour tous les lobbies qui font des pieds et des mains pour commercialiser les Organismes Génétiquement Modifiés et faire fortune au détriment de la planète et de l'Humanité. Monsieur Attali n'illusionne pas les regards attentifs scrutant les manoeuvriers de ce monde.
Attali a écrit à Sarkozy pour "l'alerter sur le principe de précaution"
Le président de la Commission pour la libération de la croissance française (CLCF), Jacques Attali, a annoncé lundi avoir écrit au président Nicolas Sarkozy pour "l'alerter sur les dangers du principe de précaution" tel qu'il figure dans la Constitution.
"Il semble opportun d'abroger, ou à défaut de préciser très strictement la portée de l'article 5 de la Charte de l'environnement de 2004", écrit M. Attali dans ce courrier, dont une copie a été transmise à l'AFP.
"Nous pensons collectivement qu'il est important que ce principe de précaution soit repensé pour qu'il ne soit pas un obstacle à la croissance", a déclaré M. Attali lors d'une conférence de presse destinée à présenter le rapport d'étape de sa commission sur le pouvoir d'achat.
La recommandation de la CLCF sur le principe de précaution ne figure pas parmi ces premières propositions.
"Le principe de précaution tel qu'il est écrit est un obstacle à l'innovation" car il confère à l'Etat "une attitude de prudence et donc d'interdiction", a expliqué M. Attali. Selon lui, il "aurait un impact catastrophique pour l'innovation" et ce "principe d'imprécation" aurait donc un impact négatif sur l'économie.
Selon la lettre envoyée au président de la République, en date du 11 octobre, la référence au "principe de précaution" dans l'article 5 "génère des incertitudes juridiques et instaure un contexte préjudiciable à l'innovation et à la croissance". Il risque également "d'inhiber la recherche fondamentale et appliquée", estime M. Attali dans ce document.
Le ministre de l'Ecologie, Jean-Louis Borloo, s'est fermement opposé lundi à la suppression du principe de précaution et a rappelé que ce principe, inscrit dans la Constitution française depuis 2005, "fait partie de traités internationaux que la France a signés."
La secrétaire d'Etat à l'Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morizet, avait auparavant qualifié cette position de "réactionnaire". "Il faut cesser de considérer que l'environnement est une limite à la croissance", a affirmé celle qui fut rapporteur de la Charte de l'environnement.
Inscrit dans la Constitution française, le principe de précaution peut être invoqué si le besoin d'une intervention urgente se fait ressentir face à un possible danger pour la santé humaine, animale ou végétale, ou pour la protection de l'environnement.
Sources Agefi
Posté par Adriana Evangelizt