Nicolas Sarkozy est augmenté de 172 %, et non de 140 %
Quand on regarde le théâtre sarkozyen avec tous les acteurs qui se livrent au pillage de la France et vont mener à la ruine des Français, on rit jaune et on crie à l'Imposture. Elle est grandiose. Il faut bien écouter parler Sarkozy et comprendre que son discours est à double sens. Un sens pour ceux qu'il croit être des veaux et l'autre pour ses affidés qui participent à la grugerie.
Ainsi n'oublions pas que c'est Karoutchi qui a demandé l'augmentation de 172 % de Sarkozy. On connaît -ô combien- l'appât du gain des sionistes. Croyez-le, ils aiment ça le pognon, le luxe et tout ce qui va avec ! Ce sont les fervent serviteurs du Prince de ce monde, des parfaits antichrists. Ils font leur fortune sur le dos des Peuples. Donc le contraire de QUI vous savez. Ils emploient des mots tarabiscotés à leur façon de sorte que le populo n'entende rien à leur charabia. On vous fera juge des mots de Karouchi pour faire passer l'augmentation de celui qui le hissera sûrement très haut, vu le service rendu... c'est comme ça que ça se passe... "un traitement brut mensuel calculé par référence au traitement des fonctionnaires occupant les emplois de l'Etat classés dans la catégorie dite hors échelle, au plus égal au double de la moyenne du traitement le plus bas et du traitement le plus élevé de cette catégorie". Vous avez compris quelque chose ? A notre avis, il n'y a pas que Sarkozy qui a dû être augmenté.
Nous avons à faire à la plus grande bande de rapaces que la France ait jamais eu au pouvoir. Ils peuvent serrer la pince à Bush et à Cheney. Ils sont presque pires. Et comme le culot ne leur fait pas défaut, voilà l'excuse de Sarkozy pour ce qu'il considère comme un dû, à savoir cette augmentation faramineuse qu'il pare de vertu... "Elle s'accomplit dans le cadre plus général d'une "révolution intellectuelle et morale" de l'Etat, qui oblige "à la transparence" et induit "la récompense du mérite et du travail bien fait... J'ai voulu que la présidence de la République donne l'exemple". Appeler une extorsion de fonds,"une révolution intellectuelle et morale qui oblige à la transparence" démontre la subtilité de la rouerie ou comment on fait prendre des vessies pourries pour des lanternes glauques. Et comme Sarkozy ne manque pas d'audace pour justifier sa rapacité, il ajoute... "J'ai voulu que la présidence de la République donne l'exemple". Il est donc fortement recommandé de s'augmenter le salaire de 172 % par n'importe quels moyens. Quitte à prendre les armes. Pourquoi se gêner ? Il se paye même le luxe d'ironiser... la "rupture". "Un mot que j'aime tant"... Pas question, de prôner la rigueur après avoir promis de réduire la fracture sociale : "Si l'austérité produisait des résultats, ça se saurait depuis longtemps"... dans ces quelques mots, on a tout le programme sarkozyen... pas question de prôner la rigueur pour lui et dans tous les domaines, l'austérité sera pour bientôt et pour tous ceux qui ont voté pour lui... les autres savent ce qu'il leur reste à faire. Suivre l'exemple du Maître versé dans l'art du subterfuge pour ne pas crever étouffé sous les coups de boutoir de l'Adversaire. Au nom de Jésus, le Juif Palestinien. Car c'est pour lui que nous nous battons. Pour la Liberté. L'Egalité. La Fraternité.
Nicolas Sarkozy est augmenté de 172 %, et non de 140 %
par Béatrice Gurrey et Patrick Roger
"Transparence". Tel était le maître mot du – bref – débat qui a précédé le vote à l'Assemblée nationale, mardi 30 octobre, de l'augmentation du traitement du président de la République. Mais personne, à la sortie, n'était en mesure d'indiquer avec précision la rémunération actuelle du chef de l'Etat et celle à laquelle il aura droit à compter du 1er janvier 2008.
Interrogé par Le Monde, le secrétaire d'Etat chargé des relations avec le Parlement, Roger Karoutchi, qui a présenté les crédits des pouvoirs publics et défendu les amendements du gouvernement sur le budget de l'Elysée, a fourni ces indications : de 7 084 euros à l'heure actuelle, l'indemnité mensuelle nette du président de la République passera à 19 331 euros, soit une augmentation de 172 %, et non de 140 % comme Le Monde, ainsi que la plupart de ses confrères, l'avaient écrit. Des chiffres confirmés par l'Elysée.
La confusion naît d'une note de l'Elysée jugeant "souhaitable que la rémunération du président soit portée à un niveau comparable à celle du premier ministre". La rémunération brute annuelle de François Fillon atteint 240 000 euros. Le rapprochement a été fait avec la "dotation" annuelle du président, fixée à 101 488 euros dans le projet de loi, sans changement par rapport à l'année précédente.
"RÉCOMPENSE DU MÉRITE"
Jusqu'à présent, la rémunération du chef de l'Etat ne répondait à aucun critère réglementaire. L'amendement voté à l'Assemblée dit que le président recevra dorénavant, comme les membres du gouvernement, "un traitement brut mensuel calculé par référence au traitement des fonctionnaires occupant les emplois de l'Etat classés dans la catégorie dite hors échelle, au plus égal au double de la moyenne du traitement le plus bas et du traitement le plus élevé de cette catégorie".
Le but est d'"aligner les modalités de rémunération du président de la République sur celles du premier ministre". Les modalités, et non le montant.
Le bicentenaire de la Cour des comptes, lundi 5 novembre, a donné l'occasion à Nicolas Sarkozy de parer de vertu cette augmentation de salaire. Elle s'accomplit dans le cadre plus général d'une "révolution intellectuelle et morale" de l'Etat, qui oblige "à la transparence" et induit "la récompense du mérite et du travail bien fait", a-t-il expliqué. "J'ai voulu que la présidence de la République donne l'exemple", a ajouté M. Sarkozy.
M. Sarkozy a proclamé la "rupture". "Un mot que j'aime tant", a-t-il précisé. Pas question, comme l'avait fait Jacques Chirac en 1995 – pour préparer l'euro –, de prôner la rigueur après avoir promis de réduire la fracture sociale : "Si l'austérité produisait des résultats, ça se saurait depuis longtemps", a-t-il ironisé.
Il a aussi lancé un avertissement "à ceux qui ne croient qu'à la vertu des politiques sacrificielles", car les Français "n'ont cessé depuis vingt-cinq ans de faire en vain des sacrifices considérables".
La présence des comédiens Jean Piat et Francis Huster, qui ont joué la séance inaugurale de la Cour en 1807, rappelait que la politique peut aussi être un théâtre.
Sources Le Monde
Posté par Adriana Evangelizt