MISE AU POINT ENVERS NOS DETRACTEURS
Alors en ce dimanche ensoleillé mais frisquet sur le bassin d'Arcachon, une petite mise au point s'impose. Nous recevons beaucoup de courriels et il ne nous sera pas possible de répondre à tout le monde dans un délai raisonnable. Mais nous les lisons tous. Sans exception. Et nous répondons même de suite à nos détracteurs ou à ceux qui se posent de drôles de questions. Ils sont peu nombreux, la tâche est donc moins ardue que de répondre à ceux qui nous soutiennent... à ceux qui nous donnent leur impression personnelle sur Dominique de Villepin ou à ceux qui voudraient que l'on s'implique plus concrètement dans le soutien au Premier Ministre. Pour ce dernier cas, nous nous penchons sur toutes les propositions, toutes les idées... et nous répondons OUI, nous allons faire quelque chose. Quelque chose de solide et de porteur.
Les déçus de gauche et de la politique en général vont s'unir. Pour que l'avenir de la France devienne meilleur. Et pour qu'il soit meilleur, il nous faut le meilleur leader... le leader des capitaines pour le bâteau français qui prend l'eau et où ceux qui sont dans la cale vont mourir noyés. Car tel est le monde où nous vivons. Un monde égoïste où les insolents se grisant d'opulence méprisent complètement ceux qui meurent du malheur dû à la misère. Ce n'est pas de ce monde-là que nous avons rêvé. Ni pour nous, ni pour nos enfants. Nous désirons un monde plus juste, plus humain. Un monde où chacun a sa chance. Qui peut nous offrir cela aujourd'hui ? Réfléchissons y c'est important.
Nous sommes de gauche mais je vous pose la question, qu'est-ce que cela veut dire ? Devons-nous parler de l'épisode Mitterand et de tous ses mensonges ou cachotteries ? Devons-nous parler de Jospin ? De Fabius ? De Hollande ? De l'inconsistant. Voilà ce que nous en pensons. Il y en a un nombre incalculable qui vont se présenter et au bout du compte, soyons en sûr, la gauche ne va pas passer parce qu'ils ne sont plus crédibles... s'ils ne l'ont jamais été. Donc, nous n'avons absolument aucune honte à soutenir un homme du parti adverse possédant des qualités qu'eux ne possèdent pas. Nos élites nous ont trahi. Ce n'est pas de nous que vient la félonie. Nous, nous les mettons en face de leur culpabilité. Et nous ne leur faisons plus confiance. Lorsqu'un ami nous trahit, il ne mérite que le dédain. La gauche est donc rayée de la carte.
Alors que reste-t-il ? Nicolas Sarkozy qui monopolise médias, télés, radios depuis des mois ? Nous avons eu le temps de nous pencher sur le bonhomme et croyez bien que nos yeux voient plus profondément et plus loin que l'apparence. Il faut savoir comment fonctionne l'être humain pour comprendre ce qui le motive. Ce que l'on voit est une chose, ce qu'il en est vraiment, une autre... et nous nous trompons rarement dans nos prédictions. Nicolas Sarkozy avec sa politique rigoriste et à la limite du tolérable pour les plus précaires, ne peut en aucun cas faire le bonheur du peuple, c'est ce que nous pensons réellement. Et nous aimerions franchement penser le contraire. Mais voilà, nous ne pouvons pas. Il nous donne l'impression de vouloir mener la France d'une main de fer et nous le pensons dangereux pour notre pays. Or le seul qui puisse vraiment lui barrer la route et le contrecarrer, c'est Dominique de Villepin. Il possède des qualités qui feraient de lui un grand chef d'Etat. Ca c'est pour commencer à répondre à ceux qui s'imaginent n'importe quoi.
Voici ci-dessous quelques questions que l'on nous pose et auxquelles nous allons répondre en direct. Vous allez rire... nous, en tout cas, on se marre ! Et nous sommes même sûre que tous ces messages viennent de sarkozistes.
D'un dénommé François...
Est-ce Villepin qui vous mandate pour lui faire de la publicité ?
Ma réponse :
Monsieur ! Pour prêter aux autres d'aussi troubles desseins, vous devez vous-même en avoir lourd sur la conscience. Apprenez que personne ne me dicte ma conduite dans ce que je crois bon d'entreprendre. Monsieur de Villepin n'est donc pour rien dans la parution de ce blog qui vous irrite.
D'un certain Claude
Ne seriez vous pas amoureuse de Villepin pour le défendre avec tant de zèle ?
Ma réponse :
Oui, Monsieur... je suis amoureuse de Dominique de Villepin comme je suis amoureuse de vous. La même chose. Je pense à vous jour et nuit. Vous êtes devenu mon obsession. Est-ce que cet amour vous convient ?
Le dernier d'un certain Jean-Marie...j'ai copié collé les textes vous les avez donc texto avec les fautes...
Mon Objet : la beauté ne se mange pas en salade
Monsieur...
Le physique est une chose, la valeur d'un homme une autre. Monsieur de Villepin est un tout et pour ceux qui voient plus loin que l'apparence, nous dirons même qu'il possède une grande Âme et qu'il sera président de toute façon. C'est son destin.
Ce qui me motive et nous motive car nous sommes plusieurs. C'est que nous pensons réellement que si Nicolas Sarkozy passe, la France est en danger. Les déçus de gauche n'ont donc pas envie de voter pour des candidats qui, au final, n'arriveront pas en tête pour la simple raison qu'ils ne sont plus crédibles.
Les gauchistes déçus ont donc décidé de mobiliser et de soutenir Dominique de Villepin à la présidentielle. Les méthodes de Sarkozy ne nous plaisent pas. Il manque de noblesse justement, lui qui se targue d'en posséder. Et nous entendons par Noblesse non le titre nobiliaire mais la grandeur de l'homme. Dominique de Villepin possède de grandes qualités qui ne demandent qu'à se mettre au service de la France. Ceci dit, qu'il ait un beau physique est important pour l'électorat féminin qui ne sait pas toujours à quel saint se vouer. Mais rassurez-vous, je ne soutiens pas Mister de Villepin parce qu'il est bel homme. Il n'a pas que cela. Il possède un grand charisme. Il est pragmatique. L'idéal humaniste du poète influera certainement sur sa conception d'un monde plus juste. Il n'y a qu'à lire ses livres pour comprendre comment il voit l'avenir de la France. Dans l'immédiat, nous n'avons trouvé personne de mieux que lui pour nous représenter en France et dans le monde.
En espérant avoir répondu à vos questions...
Vous avez là le genre de courrier qui nous est adressé par nos détracteurs. Et on passera les petites mesquineries du style "Vous ne rêvez pas à lui, la nuit ?" Ce à quoi nous répondons... "si, je rêve de lui, je le vois président. Mais il ne quitte pas sa femme pour m'épouser, non Monsieur ! Dominique et moi-même avons une relation cosmique." Nous possédons fort heureusement un grand sens de l'humour. Et les périples de notre existence nous ont appris à nous sortir sans ambages de diverses situations. Ce petit monde d'humains qui passent son temps à écrire des âneries ne nous impressionne pas. Cela ne nous fait même ni chaud ni froid. Car l'un de nos principaux défauts est d'adorer combattre l'adversité et les adversaires. Les situations faciles n'ont pas notre préférence. Que l'on nous attaque pour Dominique de Villepin ou pour d'autres causes que nous défendons avec autant de coeur, ne nous effraie pas et ne nous empêchera pas de poursuivre notre tâche ni, avons-nous envie d'ajouter, notre Mission. Car nous en avons une. Nous oeuvrons, nous, pour le bonheur des peuples. Pour qu'ils ouvrent les yeux. Et les dizaines de sites que nous possédons sur le net n'ont pas d'autres buts. Nous battre pour les peuples en informant. Car ce que l'on voit à la télévision est loin de refléter la réalité. Ou la reflète trop en ce qui concerne Nicolas Sarkozy. Et c'est uniquement pour cela que nous soutenons la candidature du Premier Ministre en souhaitant qu'il se présente. Mais une chose est certaine, il faut qu'il se présente. Il n'y a pas d'autres alternatives sinon la France s'enfoncera dans le chaos. Elle sera obligée de s'y enfoncer quand même avec la guerre qui se profile à l'horizon mais elle y fera davantage face si elle a un homme d'Etat qui tient la route. Vous voyez, on est loin là d'une bluette à l'eau de rose entre Dominique de Villepin et Adriana Evangelizt. Nous avons évolués, nous ne sommes plus primaires. C'est l'esprit seul qui nous guide. Et qui nous pousse à mobiliser un maximum de gens, tous partis confondus, pour que Dominique de Villepin se présente. Et il se présentera. C'est son destin.
Et puisque nous en sommes à parler de son destin, nous nous permettons de poser ci-dessous un petit article pour clouer le bec à ceux qui lui reproche de ne pas avoir été "élu"... le grand mot. Combien y a t-il d'élus qui ne devraient pas l'être tellement ils sont nuls et combien ne sont pas élus alors qu'ils possèdent toutes les qualités humanistes requises pour l'être ? Nous connaissons suffisamment de personnes évoluant dans le mileu de la politique pour savoir que c'est une grande mafia. Il y en a très peu de sincères mais pullulent les ambitieux et les opportunistes. Ces derniers oeuvrant davantage pour leur Ego que pour le Peuple... or le Peuple a son mot à dire.

Villepin, troisième
Premier ministre jamais élu
Dominique de Villepin est le troisième Premier ministre de la Ve République à ne jamais être passé par la sanction du suffrage universel, après Georges Pompidou et Raymond Barre.
En 1962, c'est un quasi-inconnu, Georges Pompidou, qui, à la surprise générale, est nommé à Matignon par le général de Gaulle pour succéder à Michel Debré. Normalien, cet ancien professeur de lettres a fait l'essentiel de sa carrière au Conseil d'Etat puis à la banque Rothschild, et n'a jamais été adoubé par l'expression populaire.
Ce n'est qu'en 1965 qu'il est élu conseiller municipal de Cajarc (Lot), avant de devenir député du Cantal en 1967. Il reste en tout six ans à Matignon, où il s'affirme comme une forte personnalité politique, faisant pour beaucoup figure de sauveur lors du mouvement de mai 68. L'ancien novice finit son parcours en apothéose en gagnant l'élection présidentielle de 1969.
Raymond Barre
En 1976, le président Giscard d'Estaing désigne Raymond Barre comme Premier ministre, après la démission de Jacques Chirac. Economiste reconnu, il a officié comme vice-président de la Commission européenne entre 1967 et 1973, et a été nommé ministre du Commerce extérieur en janvier 1976. Mais il n'a jamais exercé de mandat électif.
Il reste près de cinq ans à la tête du gouvernement, dans une période marquée par les retombées de la crise pétrolière et la montée du chômage. Il est élu pour la première fois député en juin 1981, dans la 4e circonscription du Rhône. Il échoue à l'élection présidentielle de 1988, puis est élu maire de Lyon en 1995, poste qu'il occupe jusqu'en 2001.
Sources : NOUVEL OBSERVATEUR
Voir aussi Dominique de Villepin président en 2007