Grève des salariés de l'ANPE

Publié le par Adriana EVANGELIZT

Eh oui... à trop taper sur les chômeurs, il va y avoir des turbulences. Dominique de Villepin écoute trop Sarkozy. Beaucoup trop. Il ne faut pas oublier que si les gauchisants indécis penchaient vers lui c'est qu'il y avait une différence entre les deux hommes. Or voilà que les dernières initiatives de DDV sont calquées sur celles de l"'ultra". Il est en train de créer un mécontentement général et nous ne pouvons que lui conseiller de redresser la barre.

Grève des salariés de l'ANPE


Les personnels de l'ANPE et de l'assurance-chômage dénoncent notamment les conditions de rapprochement entre les deux organismes.

Les syndicats CGT et Sud appellent les personnels des ANPE et de l'assurance-chômage à une journée de grève nationale mardi 24 janvier pour dénoncer les conditions de rapprochement entre les deux organismes, la nouvelle convention Unedic, le décret renforçant le suivi des chômeurs et les éventuelles sanctions à l'encontre de ces derniers.


Des rassemblements sont prévus dans la plupart des régions, notamment devant les préfectures, avec parfois la participation d'autres syndicats dont FO. Les associations de chômeurs et la coordination des intermittents du spectacle appellent à se joindre à ces protestations.

Des rassemblements sont prévus dans la plupart des régions, notamment devant les préfectures, avec parfois la participation d'autres syndicats dont FO.


A Paris, les manifestants doivent se rassembler mardi à partir de 14h à proximité du ministère de la Cohésion sociale et du Travail.

Suppressions de postes

La CGT estime que le rapprochement entre les antennes Assedic et l'ANPE risque de "remettre en cause le cœur de métier" des agents des deux organismes avec à la clé des suppressions de postes.


Les syndicats qui appellent à manifester mardi dénoncent également la nouvelle convention Unedic que ni FO ni la CGT n'ont signé. La CGT estime que le nouveau texte va "réduire un peu plus les droits des chômeurs".

Le décret publié en septembre 2005 et permettant de supprimer le versement d'allocations chômage dans certaines conditions après trois refus de propositions d'emploi, ainsi que le contrat nouvelles embauches (CNE) et le contrat première embauche (CPE) sont aussi dans la ligne de mire des protestataires.


"Nous ne voulons pas devenir l'amortisseur social de la politique du gouvernement en matière d'emploi", a déclaré lundi à l'Associated Press Denis Lalys, l'un des porte-parole de la fédération CGT des organismes sociaux.

Sources : NOUVEL OBSERVATEUR

Posté par Adriana Evangelizt

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