Sarkozy souhaite que la zone euro moralise le capitalisme financier

Publié le par Adriana EVANGELIZT

Qu'est-ce qu'il nous chante là ? "Le capitalisme ne peut pas survivre sans une éthique, sans le respect d'un certain nombre de valeurs spirituelles..." Il faudrait qu'il revoit un peu ses valeurs. Le capitalisme ne peut en aucun cas posséder de valeurs spirituelles car il est l'antithèse du spirituel. Faut-il lui rappeler que le capitalisme est associé au matériel, -que l'on nomme satanisme ou Prince de ce Monde dans la sphère Hermétiste- et qu'il est le contraire du spirituel et de l'intemporel ? Comment peut-il donner des valeurs spirituelles au monde de l'argent qui pourrit tout ? Pour nous, malheureusement, Sarkozy n'est qu'un serviteur du Prince de ce monde. Il travaille pour les riches, pour le fric, pour les affaires mais certainement pas pour un monde de valeur que rien n'achète. Sinon, il serait un peu plus humble, il irait davantage dans le sens des pauvres... en un mot, il aurait un peu plus de coeur. Dans l'immédiat, comme tous les capitalistes, il capitalise. Point. Mais il ne va certainemnet pas faire comme l'abbé Pierre donner sa fortune à ceux qui en ont besoin. Alors qu'il ne mélange pas tout, ce sera déjà une bonne chose. Être Eclairé n'est pas donné à tout le monde. Qu'il continue donc à servir Mammon et s'abstienne de mêler l'ivraie au bon grain.

Sarkozy souhaite que la zone euro moralise le capitalisme financier

Nicolas Sarkozy s'est engagé mercredi à proposer, s'il est élu, aux partenaires européens de la France "d'assigner comme missions à la zone euro la moralisation du capitalisme financier et la promotion d'une économie de production contre une économie de spéculation et de rente".

"Je crois dans la force créatrice du capitalisme mais je suis convaincu que le capitalisme ne peut pas survivre sans une éthique, sans le respect d'un certain nombre de valeurs spirituelles, sans l'humanisme, sans le respect de la personne", a déclaré le candidat UMP lors d'une réunion publique à Strasbourg au cours de laquelle il a détaillé son projet pour l'Europe.

Nicolas Sarkozy a une nouvelle fois jugé "inadmissibles" les parachutes en or dont bénéficient les chefs d'entreprises qui échouent, et dit "ne pas pouvoir admettre que quelqu'un puisse être licencié sans qu'on lui dise pourquoi".

Le candidat UMP a appelé de ses voeux une "Europe qui contribue à rééquilibrer le capitalisme financier dans un sens plus favorable à l'entrepreneur et au capitalisme familial". "Je veux l'Europe, mais une Europe qui travaille à humaniser et à moraliser la mondialisation", a-t-il lancé.

Sources Nouvel Observateur

Posté par Adriana Evangelizt

Publié dans EUROPE-TURQUIE

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