Immigration: Sarkozy veut aller "au bout d'une politique de quotas"

Publié le par Adriana EVANGELIZT

Immigration:

Sarkozy veut aller "au bout d'une politique de quotas"

 

Nicolas Sarkozy a réclamé mardi qu'en matière d'immigration, la France aille "jusqu'au bout d'une politique fondée sur des quotas".

"J'ai demandé (au ministre de l'Immigration) Brice Hortefeux (...) d'aller jusqu'au bout d'une politique fondée sur des quotas", a-t-il dit lors de la première conférence de presse de son mandat.

"Cela fait trop longtemps qu'on en parle. Tout le monde sait que c'est la seule solution. Eh bien il faut franchir le pas, et arrêter de vouloir protéger les uns, ne pas choquer les autres. Avec cela, on n'a que des problèmes". "La politique des quotas", a-t-il insisté, "nous devons la mettre en oeuvre, en fonction des capacités d'accueil, d'intégration."

Le président de la République Nicolas Sarkozy a souhaité au cours de sa conférence de presse à l'Elysée la création d'une juridiction spécialisée dans le droit des étrangers.

Le président a indiqué souhaiter "une juridiction qui s'occupe du droit des étrangers", alors qu'à l'heure actuelle le droit dans ce domaine relève de tribunaux ordinaires, non spécialisés, administratifs ou judiciaires, contrairement à d'autres domaines, comme le droit du travail, qui est appliqué par des juridictions spécialisées.

Il a précisé ne pas savoir si ces juridictions appliquant exclusivement la législation concernant les étrangers seront "administratives" ou judiciaires". Il avait auparavant annoncé vouloir aller "jusqu'au bout" de la "politique des quotas".

"J'ai demandé (au ministre de l'Immigration) Brice Hortefeux (...) d'aller jusqu'au bout d'une politique fondée sur des quotas", a-t-il dit. Il a ensuite souhaité que chaque année "devant le Parlement, on puisse débattre de la politique d'immigration" pour savoir "combien de personnes nous avons accueillies, combien de personnes nous voulons accueillir".

"En 2008, on va en débattre. Les gouvernements seront obligés d'expliquer au pays quelle est leur politique d'immigration, d'assumer leurs choix, de les revendiquer et de rendre des comptes sur cette politique".

Sources AFP

Posté par Adriana Evangelizt

Publié dans IMMIGRATION

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K
C'est bien ce que dit la future présidente d'un monde imaginaire, on nous prends pour des boeufs ! Quand allons-nous finir de brouter l'herbe déjà si rare ????http://evangelizt-poete.over-blog.com/article-7341770.html
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G
Immigration choisie ou quota!Comment un président de la République Française peut-il parler ainsi?Qui compose l'entourage et les relations amicalers de ce président?A l'époque ou le chomage était de 2%, dans les usines du nord de la France on faisait venir des étrangers par bateaux ou par tout autre moyen pour les embaucher à des tarifs 50% moins cher que les gens de la région, et les matières premières étaient importées clandestinement par des biais similaires, sans que jamais les prix s'en ressentent pour le consommateur. Ou donc passait l'argent ainsi gagné?Les salariés du cru, peu a peu étaient bien obligés d'accepter des salaires plus bas pour vivre, tout simplement.On nous parle encore aujourd'hui d'immigration par quota ou choisie alors que le nombre de chomeurs en France ne fait qu'augmenter malgré les statistiques trompeuses qu'on nous donne (voir le nombre de SDF ajouté au nombre de RMIste, ajouté au nombre des chomeurs déclarés + les personnes qui n'entrent pas dans ces trois catégories;. Y a-t-il alors besoin d'une immigration par quota ou choisie.Le patronat prétend que le personnel recruté à l'ANPE n'a pas la formation suffisante, dans ce cas comment expliquer le travail de caissière en super marché d'un bac+5, d'un emploi de d'employé de bureau pour un ingénieur? La question est beaucoup plus simple, ces dirigeants ont besoin de gagner plus en employant moins et en n'assurant pas la formation nécessaire à l'entreprise. S'il y avait une preuve à apporter on la trouvera dans les formations plethorique à la vente, on ne demande plus aux salariés de connaitre leur travail et la raison pour laquelle ils doivent le faire d'une certaine façon, non, on produit à toute vitesse, on fait vendre à toute vitesse de façon à engranger des bénéfices substanciels  et ainsi satisfaire les actionnaires,  qui donc apporte la plus-value, Quelle est la reconnaissance qui leur est accordée?Quand le client se retrouve avec des produits manufacturés en panne avant d'être mis en service, et qu'on a toutes les peines du monde à se faire remboursermais, ou sont les actionnaires à ce moment là?Dans le même esprit, j'entends dire que les universités sont trop chargées, c'est curieux, la noblesse du travail manuel est grande, les taches ingrates sont aussi de nobles travaux puisque le quidam ne veut pas les accomplir, alors, revalorisons ce genre d'activité, nous n'aurons plus besoin d'importer la main d'oeuvre, et nous libererons les universités.Sur le thème des universités, le président veut faire entrer les entreprises dans le domaine de l'enseignement! Halte!, Ou trouverons-nous, dans ce cas, l'objectivité dans la recherche? Les exemples parlent d'eux même, les chercheurs écartés de leur domaines de recherche quand ils ne sont pas simplement éconduits parce que ne rentrant pas dans le moule, font flores.Notre président parle du salaire au mérite, et lui-même s'octroie une augmentation substancielle en début de mandat! Je croyais, moi, que le mérite se jugeait à la longue sur des résultats.J'ai entendu dire qu'il fallait travailler plus longtemps pour profiter d'une retraite! Ca c'est la meilleure, quand on sait le nombre de personne licenciées après cinquante ans, ou mises en préretraite. Comment résoudre cette équation. J'ai vu des décision bruxelloises remises en question dix ans après parce que l'effet retard n'avait pas été hapréhendé. Les responsables sont-ils redevables devant la société?Et dans ce cas, pourquoi, l'assemblée nationale a-t-elle votée cette imdemnité parlementaire de cinq ans pour les anciens députés en fin de législature en 2007 égale au traitement qu'ils avaient pendant leur mandat, alors que les chomeurs n'ont que des droits dégressifs de 23 mois, il me semble, et maintenant obligés de reprendre n'importe quel travail, sous payé, et sans correspondance avec leur qualification sous peine de perdre tous leurs droits. Je croyais, comme je suis naif, que l'essentiel de la politique c'était de faire prévaloir l'interet commun plutot que l'interet particulier. Force estde constater, que, avant la montée en force de la nation, aujourd'hui, faire de la politique c'est d'abord et avant tout penser à obtenir pour soi et ses copains toutes les parts du gateau, le peuple est là, soumis pour la leur apporter.
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