Aujourd'hui, "je pense à la France" déclare Nicolas Sarkozy

Publié le par Adriana EVANGELIZT

Nous sommes en train de regarder... c'est la fin. C'était très émouvant. Très. Ici, point de dissimulation sur le ressenti. Parce que nous aimons notre pays plus que tout au monde. Parce que nous aimerions que... Nicolas Sarkozy soit un bon président pour cette France dont nous sommes fiers de fouler le sol... à qui nous sommes fiers d'appartenir... et ceci quelles que soient nos ascendances... oui, envers et contre tout, notre patrie c'est la France. Quel destin le nouveau Président va-t-il lui donner ?

On peut le dire en le voyant bousculer quelque peu le protocole -et c'est tant mieux-... en le voyant traverser la rue pour aller serrer les mains du Peuple d'un côté et de l'autre, il aime certainement notre pays et pour parvenir à devenir le Père de la Nation, il aura surmonté bien des épreuves quitte à paraître parfois brutal parce que c'est quelqu'un d'impulsif mais en même temps il est aussi sensible. Nul doute qu'il a dû se caparaçonner contre cette sensibilité pensant que c'était une faiblesse. Il s'est montré pugnace et il l'est. Il faut l'être de toute façon pour évoluer dans ce monde de requins. Mais une chose est certaine, Nicolas Sarkozy a beaucoup de mal à cacher ses sentiments. C'est quelqu'un d'entier. Et c'est peut-être mieux ainsi dans cette jungle où l'hypocrisie est reine. Preuve en est, son Amour pour sa dame de coeur, Cécilia. Elle était là. Malgré tout. Malgré les aléas de la vie. Mais une vie de couple, on le sait, ce n'est jamais facile. Cécilia, qu'il a porté au sommet avec lui. Une grande réhabilitation devant le monde entier. Dès qu'il a eu fini son discours, c'est vers elle qu'il s'est dirigé. Un geste tendre de la main... un baiser sur les lèvres... le Président est un humain et son Amour jamais dénié, jamais renié pour Cécilia, symbole du pardon, donne de lui une image qui a souvent été occultée pour laisser place au pire dont il fût parfois capable en parole ou en acte. On peut dire qu'il y a en lui deux personnes bien distinctes, celle qui est capable du meilleur et celle qui peut le moins bon s'il se laisse aller à ses impulsions. Comme nous ne l'avons jamais caché sur ce blog, nous avons toujours vu d'un mauvais oeil certaines alliances. Il y a des pays qui sont dangereux pour la France. Dangereux parce qu'ils ne sont pas porteurs de paix et qu'ils aimeraient bien ramener notre pays dans leur giron par l'intermédiaire de Nicolas Sarkozy. Espérons qu'il saura être vigilant et reconnaître le bon grain de l'ivraie pour le bien de la République et de son Peuple.

 

 

Aujourd'hui, "je pense à la France" déclare Nicolas Sarkozy

 

Nicolas Sarkozy devant sa famille lors de son discours d'investiture le 16 mai 2007 au palais de l'Elysée à Paris

 

Nicolas Sarkozy a déclaré mercredi qu'il "pense à la France, ce vieux pays qui a traversé tant d'épreuves et qui s'est toujours relevé", dans sa première allocution de président de la République, mercredi à l'Elysée.

Il a déclaré avoir "l'exigence de rassembler les Français", de "respecter la parole donnée" et de "tenir les engagements".

Nicolas Sarkozy s'est redit mercredi "prêt à travailler avec" des personnalités d'autres bords politiques, assurant "qu'au service de la France, il n'y a pas de camp" mais seulement "les compétences, les idées, les convictions". "Je veux dire ma conviction qu'au service de la France il n'y a pas de camp. Il n'y a que les bonnes volontés de ceux qui aiment leur pays. Il n'y a que les compétences, les idées et les convictions de ceux qui sont animés par la passion de l'intérêt général", a-t-il dit.

"A tous ceux qui veulent servir leur pays, je dis que je suis prêt à travailler avec eux et je ne leur demanderai pas de renier leurs convictions, de trahir leurs amitiés et d'oublier leur histoire", a ajouté M. Sarkozy qui a entrepris de former un gouvernement d'ouverture à gauche et au centre. "A eux de décider, en leur âme et conscience d'hommes libres, comment ils veulent servir la France", a ajouté le nouveau chef de l'Etat.

Les droits de l'Homme et la lutte contre le réchauffement vont devenir les priorités de la diplomatie française, a-t-il annoncé. "Je ferai de la défense des droits de l'Homme et de la lutte contre le changement climatique les priorités de l'action diplomatique de la France", a-t-il dit dans son discours d'investiture à l'Elysée.

"Je me battrai pour l'union de la Méditerranée", a également promis le nouveau chef de l'Etat: "En tournant le dos à la Méditerranée, la France a cru tourner le dos à son passé. En fait, elle a tourné le dos à son avenir."

"Je me battrai pour le développement de l'Afrique", a-t-il poursuivi, "parce que le destin de l'Europe et celui de l'Afrique incontestablement sont liés."

"Je vais me battre pour une Europe qui protège", a-t-il enfin expliqué, "parce que le sens de l'idéal européen, c'est protéger les citoyens de l'Europe".

Sources AFP

Posté par Adriana Evangelizt

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As tu retournée ta veste toi aussi Adriana.Pour ma part plus je l'écoute et plus j'ai peur.Il donne au gens ce qu'ils veulent.Quant aux personalités de gauche qui veut débaucher ce sont des traitres bien que je ne soit pas de gauche ou plutot des AGENTS DOUBLES (kouchner et allegre).Voilà ou nous en somme en France aujourd'hui avec des politiques sans convictions...
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A
Réponse à 007<br /> Oui nous avons retourné notre veste ou viré notre cutie, c'est selon. Est-ce que cela te fait plaisir de le savoir ? Et si vraiment tu le penses, c'est que tu nous connais très mal. Tu dis que tu as peur. Peur de quoi ? D'abord, il faut bien savoir que la peur que n'évite pas le danger. La preuve. Les Français ont tellement eu peur que plus de la moitié ont voté pour lui. Et pourtant, il nous semble que sur ce blog, plus que sur aucun autre soit-disant politique, nous n'avons jamais eu peur, nous, de tirer des sonnettes d'alarme. Et nous sommes d'ailleurs les seuls. Les seuls, à avoir clamé haut et fort que nous étions d'ascendance judaïque mais Français avant tout. Les seuls à avoir mis le doigt sur les dangers du sionisme sur notre sol et à avoir parlé des inclinaisons de Nicolas Sarkozy à ce sujet notamment par rapport à ses accointances. Ou à son atlantisme. Déjà qu'il ait investi Arno Klarsfeld pour les législatives du 8ème est un signe. Lui a-t-il demandé si un conflit éclatait entre la France et Israël, pour qui il se battrait ? Nous connaissons déjà la réponse.<br /> http://www.europalestine.com/article.php3?id_article=2628<br /> Et oui... c'est bien beau de parler de Guy Môquet et de la Résistance mais de ne pas comprendre que les Palestiniens font de la résistance parce qu'on pille leur terre tous les jours et qu'il ne reste plus rien de la Palestine, pour la simple raison que l'idéologie Sioniste qui fait la pluie en Israël et dans le monde ne veut pas d'Etat palestinien. Voilà ce qui nous différencie à nous avec Klarsfeld. Nous ne voyons pas les choses de la même façon. Alors retourner notre veste, tu sais... on pourrait peut-être effectivement la retourner si le Président Sarkozy mettait les pieds en Palestine, ce qu'il n'a jamais fait. Car pour nous, ce conflit jamais réglé, parce qu'en haut lieu certaines instances ne veulent pas qu'il le soit, est porteur d'une guerre mondiale à venir qui n'épargnera pas notre pays si dans l'entourage de Sarkozy il y a des individus qui vont dans ce sens. Et il y en a. Alors nous parler de Kouchner, par exemple, un atlantiste reconnu qui aurait voulu que nos soldats aillent en Irak avec les Américains, on ne dira même pas ce que l'on en pense. Une chose est sûre, notre regard sur les hommes ou femmes politiques est loin d'être admiratif. Nous serions à la place de certains, nous aurions honte. Mais que veux-tu l'ambition est aveugle et ses miroirs déformants. En tout cas, ce n'est pas l'honneur qui les étouffe, c'est certain. <br /> Dans l'immédiat, nous attendons et nous observons. Nous verrons si Nicolas Sarkozy est juste comme il s'est promis de l'être et notamment en ce qui concerne le conflit moyen-oriental. On verra. On pense qu'il pourrait l'être s'il n'écoutait pas  le Crif, par exemple, ou d'autres sionisants de son entourage. Sarkozy n'est pas du genre à se laisser dicter sa conduite. Mais a-t-il une bonne vision sur le sujet ? Tout est là. <br /> Nous espérons que ce commentaire te laissera la désagréable impression que nous avons retourné notre veste.<br />  <br />  <br />  <br />