Dominique de Villepin part en guerre contre Nicolas Sarkozy

Ah ! Ca commence à devenir intéressant... il aura fallu du temps à Dominique de Villepin pour qu'il prenne enfin le mors aux dents. Que ne l'a-t-il fait plus tôt ? Oui, pourquoi n'a-t-il pas engagé le combat lorsqu'il était Premier Ministre, quitte à se démarquer, alors qu'il savait très bien que Nicolas Sarkozy n'était pas son ami ? Nul doute que s'il s'était comporté comme il se comporte actuellement, c'est peut-être lui qui serait à la place de Sarkozy.

Nous nous permettrons aussi de noter que DDV est Scorpion astrologiquement parlant et que ce signe là est le seul capable de devenir héroïque lorsqu'une épreuve vient le faucher. Là, on en a la preuve flagrante. Contrairement à beaucoup d'autres, le Scorpion ne reste pas à terre. L'adversité le stimule, elle réveille son Âme et lui permet de retrouver une énergie qu'il semblait avoir perdu. On attend la suite...

Dominique de Villepin part en guerre contre Nicolas Sarkozy

"Ce n'est pas quand vous êtes entouré de 'béni-oui-oui', de cire-pompes et de courtisans que vous faites avancer un pays", déclare l'ancien Premier ministre, qui fait un parallèle entre le chef de l'Etat et le personnage de Molière.

L'ex-Premier ministre Dominique de Villepin a violemment critiqué le phénomène de cour autour de Nicolas Sarkozy mercredi 5 septembre sur France Inter, comparant le pouvoir politique actuel, auquel préside Nicolas Sarkozy, au Bourgeois gentilhomme de Molière. "Ce n'est pas quand on est entouré de 'béni-oui-oui', de cire-pompes et de courtisans que vous faites avancer un pays", a-t-il indiqué. L'ancien Premier ministre a défini "l'esprit de cour" comme "un virus dangereux". "La cour, c'est cette incapacité à se remplir de l'objectif pour exprimer le contentement permanent de celui qui le fait et le mettre en scène". "On est le pays de Molière, ne soyons pas dupe de la réalité des choses. Le Bourgeois gentilhomme est une pièce qu'il faut voir et revoir" a affirmé Dominique de Villepin.

Pouvoir consacré

Interrogé sur la personne tenant le premier rôle de la pièce sur la scène politique actuelle il n'a pas donné de nom mais a précisé : "c'est toujours celui qui se met en scène, celui vers qui les regards se tournent", avant de faire allusion au livre de Yasmina Reza consacré à Nicolas Sarkozy. "Le pouvoir n'est pas fait pour être ainsi consacré, il est fait pour rendre des comptes", a-t-il dit.
"L'homme de pouvoir en France est toujours mis dans la position d'être flatté", a-t-il observé, en souhaitant que "les amis de Nicolas Sarkozy soient capables de lui dire les choses, de lui donner un autre son de cloche.

Sources Le Nouvel Observateur

Posté par Adriana Evangelizt

Comments

[william]

Enfin du parlé vrai à l'UMP, c'est avec ce parler vrai que dominique De villepin nous a éviter, du haut de la tribune de l'ONU de partir en guerre illégale contre le peuple et la nation irakienne, n'en déplaise au lobby sioniste et à l'internationale néo-conservatrice qui aujourd'hui se venge de lui par l'intermédiaire de leur représentant Nicolas et de sa copine Rachida !Avec de villepin qui retrouve sa verve c'est la droite française, un moment disparue de la scène qui ressucite, les béni oui oui en prennent pour leur matricule, les français(e)s seront leur juge !!!A bon entendeur, les lèches bottes Umpistes !