DDV SE VEUT RASSURANT SUR LA GRIPPE AVIAIRE

Publié le par Adriana EVANGELIZT

Nous tenons gré à Dominique de Villepin de rassurer les français sur la grippe aviaire. C'est une sage décision et sa preuve d'un réalisme certain sur les évènements. Car on nous fait tout un randam sur la grippe aviaire... c'est un peu comme le bourrage de crâne du terrorisme qui pèserait sur la France. Faire planer la peur sur le Peuple et l'obliger à avaliser ainsi des mesures restreignant nos libertés fait partie de la stratégie piochée tout droit dans le gouvernement Bush-Cheney ou plutôt Cheney-Bush car le machiavélique Dick est le véritable régnant aux States... ceci dit plus pour longtemps...

Nous parlons de ce que nous pensons de cette pandémie sur notre nouveau blog Visionnaire... si les humains maltraitaient moins les animaux, nous n'en serions pas là, les pays d'Asie détenant le pompom en ce qui concerne les tortures infligées à nos amies les bêtes... une honte pour notre monde que des gens sans conscience soient capables d'autant de cruautés.

Avant la grippe aviaire, il y a eu la tragédie de la vache folle où des millions de ruminants ont été exterminés par la faute de ceux qui ne voyant que le profit ont donné comme nourriture des farines animales à des animaux sensés manger de l'herbe... ruminant... l'imbécilité des humains atteint un tel degré qu'il est à souhaiter que quelque chose se passe pour nettoyer notre planète de ces individus néfastes régnant sur la destinée des humains et les menant à leur perte.

Maintenant soyons réalistes et posons-nous les bonnes questions. Pendant que tous les médias comme de bons perroquets nous aveuglent avec la grippe aviaire, on ne parle pas d'évènements beaucoup plus graves qui se cachent derrière ce pseudo fléau du siècle... et nous sommes encore obligés d'en revenir à ce qui se trame aux USA. Cheney sait très bien qu'il brûle ses dernières cartouches mais comme il est plus fou que sage, il est capable de tout mais surtout du pire pour, avant de tirer le rideau, tirer son dernier feu d'artifice qui pourrait bien enflammer la terre entière. Gardons les yeux ouverts...

 

Grippe aviaire : la France est préparée, selon Villepin

Le Premier ministre appelle à ne pas céder à la panique", alors que le virus a été détecté aux portes de l'Europe. "Il n'y a pas de situation de pandémie" rappelle-t-il à l'issue d'une réunion interministérielle. Les experts vétérinaires de l'UE doivent adopter une proposition de la Commission visant à "réduire le risque de contact entre oiseaux sauvages et volailles dans des zones à risque".

Face à la grippe aviaire, le gouvernement prend toutes les mesures, mais sans céder à la panique. Tel est le message adressé vendredi 14 octobre aux Français par Dominique de Villepin à l'occasion d'une nouvelle réunion ministérielle sur le sujet. Le Premier ministre a fait le point avec les ministres concernés sur les risques liés à la grippe aviaire, alors que l'épizootie est aux portes de l'Europe. L'Union européenne a confirmé jeudi la détection dans des volailles turques du virus H5N1, et probablement dans celles en Roumanie.


Au nom du principe de précaution, le gouvernement a décidé d'interdire "immédiatement" l'importation de volailles provenant de Turquie et de Roumanie, en application de la décision prise par l'Union européenne. L'UE a interdit l'importation d'oiseaux vivants, de plumes et de viande de volaille en provenance de ces deux pays, pour un minimum de six mois.


Les experts vétérinaires des 25 devaient adopter vendredi en fin de journée une proposition de la Commission européenne visant à "réduire le risque de contact entre les oiseaux sauvages et les volailles dans des zones à risque".

"Pas de pandémie"

Dominique de Villepin a réaffirmé vendredi que "nous ne sommes pas en situation de pandémie" et qu'il n'y a "aucun cas" de transmission "d'homme à homme" de la grippe aviaire, dans un communiqué publié à l'issue d'une réunion interministérielle sur ce dossier à Matignon.


"Il a été rappelé qu'à ce stade, il s'agit d'une maladie qui touche les volailles. Si on dénombre en Asie quelques cas de transmission des volailles à l'homme, il n'y a en revanche à ce jour aucun cas de transmission d'homme à homme: nous ne sommes pas en situation de pandémie", a déclaré le Premier ministre.



Huit ministres

Dominique de Villepin a réuni peu après 9h00 à Matignon huit de ses ministres pour une réunion consacrée à la grippe aviaire.
Etaient présents autour du Premier ministre : Nicolas Sarkozy (Intérieur), Michèle Alliot-Marie (Défense), Philippe Douste-Blazy (Affaires étrangères), Dominique Perben (Transports), Xavier Bertrand (Santé), Dominique Bussereau (Agriculture), Nelly Olin (Ecologie) et Jean-François Copé (Budget).


Dominique de Villepin a rappelé à cette occasion les deux priorités du gouvernement : "prévenir en étroite coordination avec nos partenaires européens la propagation de l'épizootie en Europe" et "protéger la santé des Français".


Le Premier ministre a "fait le point sur l'approvisionnement de la France en masques et en médicaments anti-viraux, ainsi que sur les réservations de vaccins".



"J'en ai mangé hier"

Un peu plus tôt, invité sur Europe-1, le chef du gouvernement s'est voulu rassurant au sujet de la grippe aviaire appelant à ne pas "céder du tout à la panique".


Le poulet est d'ailleurs maintenu aux menus de Matignon, a-t-il dit, "j'en ai même mangé hier".
Interrogé sur la nécessité d'enfermer les volailles qui, élevées en plein air, pourraient entrer en contact avec des oiseaux sauvages porteurs de la maladie, Dominique de Villepin a affirmé: "Nous n'en sommes pas à ce stade."


"Ce virus se rapproche", a-t-il constaté, mais "l'Union européenne est tout à fait mobilisée", a-t-il assuré.


En ce qui concerne la France, elle se dote "d'un grand nombre de masques, d'un grand nombre d'antiviraux et de vaccins" dans le cadre d'un "plan de prévention", a précisé le chef du gouvernement.



Réunions en série

Face à la menace, la France compte notamment demander le renforcement au niveau européen de la surveillance des oiseaux migrateurs et la protection des élevages, et devrait formuler des propositions à cette fin, selon les ministères de la Santé et de l'Agriculture.
Dans le même temps, des diplomates ont affirmé vendredi à Bruxelles que les ministères des Affaires étrangères de l'Union européenne vont se réunir mardi 18 octobre à Luxembourg en séance extraordinaire pour aborder les questions de la grippe aviaire et des négociations au sein de l'Organisation mondiale du commerce (OMC).



Virus confirmé

La Commission européenne a annoncé jeudi 13 octobre que le virus de la grippe aviaire détecté en Turquie était bien le dangereux H5N1 qui a entraîné en Asie la mort d'une soixantaine de personnes depuis fin 2003. L'information a été confirmée par un porte-parole du ministère turc de l'Agriculture.
"Nous avons maintenant reçu la confirmation que le virus trouvé en Turquie est le virus de la grippe aviaire H5N1 hautement pathogène", a annoncé le commissaire européen à la Santé et Protection des consommateurs, Markos Kyprianou.
"Nous avons reçu la confirmation il y a une demi-heure", a-t-il précisé peu après midi lors d'une conférence de presse, évoquant un "lien direct avec les récents virus trouvés en Russie, Mongolie et Chine".
Les autorités d'Ankara soupçonnent une réserve naturelle d'oiseaux dont la plupart migrateurs venant du sud de l'Afrique située à Manyas, près de Kiziksa (nord-ouest), d'être à l'origine du virus.



En Roumanie aussi

La grippe aviaire a bien été détectée également en Roumanie. Des tests ont confirmé la présence d'un virus, a indiqué dans la nuit de mercredi à jeudi la Commission européenne.
Mais les résultats attendus vendredi sur l'identification du virus de la grippe aviaire en Roumanie, pour savoir s'il s'agit ou non du H5N1 qui a causé la mort d'une soixantaine de personnes en Asie, ne seront pas disponibles avant samedi, a annoncé vendredi la Commission européenne.
Les échantillons qui devaient être envoyés au laboratoire de référence communautaire en Angleterre ont été retardés en raison des "procédures douanières appliquées au transport de 'matière dangereuse'", a précisé la Commission dans un communiqué.
Ils devraient ainsi arriver "tard dans la journée de vendredi" au laboratoire et les résultats peuvent être espérés pour samedi après-midi, "pas avant".

Sources : LE NOUVEL OBSERVATEUR

Posté par Adriana Evangelizt

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