Novembre noir pour Sarkozy et son Premier ministre

Publié le par Adriana EVANGELIZT

La chute de l'article du média belge RTBF... on saura bientôt si la décision de Nicolas Sarkozy de tripler son propre salaire de Président est acceptée par l'opinion ou reste en travers de la gorge des Français. Vu la situation, très cher, on vous rassure, elle reste en travers de la gorge... il y a des limites à prendre les gens pour des c...

France : novembre noir pour Sarkozy et son Premier ministre




La réforme des régimes spéciaux de retraite continue provoquer la colère des syndicats. Après la grève des transports publics, le 18 octobre dernier, les syndicats du Service Public entendent bien continuer à mettre la pression sur le gouvernement Fillon. Du côté de la SNCF, on parle d'une nouvelle action dès le 13 novembre, une semaine plus tard, ce sont les fonctionnaires qui seront dans la rue….


Après le coup de semonce du 18 octobre, 6 syndicats de la SNCF sur 8 appellent à une nouvelle grève reconductible et illimitée cette fois, dès le 13 novembre. Les syndicalistes regrettent que le gouvernement Fillon ne bouge pas sur la durée de cotisations de 40 ans pour tout le monde alors que les régimes spéciaux sont à 37,5 ans.

A la RATP (Métro parisien), la décision de grève est pour la semaine prochaine. Les usagers s'attendent à une nouvelle galère et préparent déjà vélos, patins à roulettes ou chaussures de marche. Une grève qui pourrait bien se prolonger jusqu'au 20 novembre, jour de grève dans toute la Fonction Publique, contre notamment les réductions d'effectifs et le 29 novembre, ce sera au tour des fonctionnaires de la justice pour protester contre la réforme de l'organisation judiciaire.

Bref, le mois
 de novembre s’annonce bien sombre pour le président Sarkozy et son premier ministre, et cela alors que leur cote de confiance subit une sérieuse une baisse : Nicolas Sarkozy perd encore 4 points ce mois-ci, le Premier Ministre Fillon, 8. A 44%, il fait désormais plus de mécontents que de satisfaits. Une glissade qui s'explique par le hiatus entre les hausses de prix qui pèsent sur le pouvoir d'achat en berne et les promesses de campagne du Président. Sur fond de tensions sociales on saura bientôt si la décision de Nicolas Sarkozy de tripler son propre salaire de Président est acceptée par l'opinion ou reste en travers de la gorge des Français.

Sources
RTBF

Posté par Adriana Evangelizt


Publié dans Résistance

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